Rapport... S'il vous plait. [Ellea]

M'étais-je déjà dit une seule fois dans ma vie de Ministre de la Magie que ce travail allait me faire perdre la tête ? Je ne crois pas non. Mais depuis quelques temps, c'était chaque jour la même chose. J'étais proche de me dire cette phrase qui signerait en quelques sorte un abandon moral envers mon poste, chose que je ne pouvais envisager... Mais voilà, la situation étant, il devait être normal d'avoir une toute petite partie de mon esprit qui me criait d'arrêter ce job et de partir loin d'ici, loin de tout soucis. Loin d'une guerre sanglante, loin d'un futur plus que sombre dans ce pays.

J'arrêtais alors d'écrire. Je tentais de griffonner encore quelques mots mais ce discours était pourri. Je transformais ma belle feuille plate en boule de papier froissée avant de la jeter sèchement dans la poubelle. J'avais besoin de repos... Mais il n'était que quatorze heures, et je venais à peine de manger. Pas question de sortir du Ministère sans avoir finis ce que j'avais à faire. Ecrire le discours, revoir quelques dossiers importants, vérifier un ou deux rapports sans intérêts... Tel était mon boulot, et autant m'en acquitter parfaitement.

Je me levais alors pour faire apparaitre du bout de ma baguette une tasse de thé bien chaude accompagnée de quelques biscuits secs. La douceur du thé me reposa un peu, même si il me fallait bien plus que trois gorgées d'infusion pour me remettre en forme. Tout en mangeant un biscuit, je parcourais le quotidien moldu. Quelques meurtres non élucidés, un présumé violeur en série, un problème boursier, les nouvelles destinations à la mode pour les vacances... La vie des moldus se résumaient là dedans. C'était simple, ils ne pouvaient vivre dans la peur de se faire vider de leur sang par un vampire... Pour eux, la guerre n'existait pas dans leur pays, du moins pas actuellement. Et pourtant... Si ils savaient.

Après cet instant de repos, je me tournais vers un petit morceau de papier sur lequel j'écrivais rapidement:

Dossier Metropolitan Museum, cinq minutes. Wargreave.

J'ensorcelais alors le bout de papier pour qu'il s'envole vers sa destination : Ellea. Mon assistante devait m'apporter un dossier sensible pour le discours du lendemain. C'était une précieuse aide pour mon travail, elle s'occupait de beaucoup de choses qui ne méritait pas spécialement mon attention, elle prenait mes rendez-vous en fonction de mon agenda, gérait les documents administratifs qui m'ennuyais tellement... Bref, sans elle, j'aurais pu dire bonjour à une dépression nerveuse.

J'attendis moins du temps imparti avant de la voir entrer dans mon bureau. Ah... Il fallait avouer qu'elle était resplendissante, comme toujours. N'étant pas un séducteur de nature, je pouvais tout de même admettre que, malgré notre différence d'âge, j'aurais souhaité faire plus ample connaissance... Mais bon ! Un vieillard de soixante-deux ans ne devait pas l'intéresser plus que ça. Elle devait avoir une sacré troupe de courtisans, et, en me fiant à mon instinct, j'étais sûr qu'elle adorait ça. Une séductrice.

Je souriais devant ma réflexion tout en la fixant dans les yeux.

- Alors Mademoiselle Parker, comment allez-vous aujourd'hui ? Je n'ai même pas pu vous apercevoir ce matin, quel dommage !

Elle connaissait mon gout pour l'ironie, aussi je n'appuyais pas sur un mot ou ne fit pas de clin d'œil. Elle était intelligente et ambitieuse, un vrai petit bijou cette petite.

- Posez donc ce dossier sur mon bureau...

Journée pourrie ? Oui sans aucun doute ! Je n'avais pas fermé les yeux de la nuit... peut être faudrait il que j'arrête de me taper tout ce qui bouge ? ou plutôt ce qui ne bouge plus... quoi qui n'a jamais trouvé un vampire sexy à..mourir ? Bon clair que si il me mort..il aura plus rien...mais une ou deux morsures de temps à autre..il n'y a pas de mal non ? Après il ne s'agissait que de sexe..loin de moi l'idée de tombe amoureuse d'une sangsue.. Je comprenais ma mère, on avait tué un ami à elle..mais...moi on ne m'avait en fait si ? A part..du plaisir... Bon allez on se motive..et puis de toute façon il faut aller travailler..

Ah ce mot.. travailler.. Bon j'en avais pas besoin en fait vu que papa maman et papy avait suffisamment pour assurer jusqu'à ma mort..et celle de mes arrières petits enfants..mais bon moi et rester là à rien faire... Yen a plein pourtant qui pense qu'être riche et passer son temps à ne rien faire coule de source, moi je serais complètement folle si je devais être inactive..trop d'énergie je crois... Bref...il fallait se lever et se préparer assez vite.. Je transplanais dans ma salle - bien plus pratique - puis je m'appliquais lentement afin de me masser du gel douche sur le corps. Une main sur mes seins..sur mes jambes, je me penchais... Quel bonheur de se laver non ?

Une fois lavée j'enfilais une jolie chemise blanche pardessus un joli ensemble de lingerie noire.. En fait pour une fois je pensais que..mon boss allait être surpris ! Oui même très surpris ! Pour une fois j'allais me lâcher..il ne serait pas déçu du voyage ! Si il pensait que je l'avais pas vu me reluquer..il se trompait lourdement ! J'enfilais un pantalon noir droit et je mis mes chaussures noires talons haut. me voilà prête pour me taper mon boss..oups je l'ai dit tout haut ? Milles excuses ! Je décidais que transplaner serait plus approprié..même si la jolie moto que je venais de m'acheter serait parfaite... Je filais et me retrouvais en plein ascenseur. Ça y était.. A peine entrée dans mon bureau qu'on me fit demandée.

- Parker le boss t'appelle. Ça a l'air urgent !
- Ok dis je un sourire - plus un rictus - aux lèvres.

Je mis machinalement ma main au niveau de ma chemise ert l'ouvris un peu... il ne savait pas à quoi s'attendre...Il allait en avoir pour ses yeux.. D'un pas lent et assuré je me dirigeais vers son bureau. Conquérante, le regard avide, le port de tête droit..j'aimais savoir que le contrôle était à portée de main... Voilà ce qui me dirigeais dans la vie..ne pas perdre la maitrise des évènements.. Une fois entrée je lui fis mon plus beau sourire..celui qui fait fondre les cœurs de glace...

- Alors Mademoiselle Parker, comment allez-vous aujourd'hui ? Je n'ai même pas pu vous apercevoir ce matin, quel dommage !
- Mais on va rattraper ça monsieur...je m'en voudrais de vous décevoirdis je le regard fixant et me perdant dans ses yeux et m'avançant sur son bureau les mains posées sur celui ci.

Je lui offrais alors une vue assez plongeante sur ce qu'on appelait un décolleté parait il. Loin de moi l'idée perverse de le faire sciemment bien entendu - je ne suis pas crédible vous dites - pensais je... Quand il m dit de poser le dossier je l'envoyais se poser - grâce à la magie évidemment - sur la pile déjà placée.

- Mais bien entendu mon cher...ministre.

Là je n'avais qu'une seule envie..le balancer contre un mur..et lui faire découvrir toute ma fougue.. Bien sur je n'allais pas me donner ainsi comme n'importe quelle putain de bas étage.. Je m'asseyais sur son bureau et suçais lentement n stylo..juste comme ça..un délire avec Kaly il ya pas si longtemps.. On adorait faire des paris sur celle qui ferait les choses les plus incongrues.. Bref je me mis à balancer les jambes puis plongeant mes yeux rappelant le gouffre de l'océan dans les siens je li susurrais m'approchant de son oreille

- Dites..et si on passait aux choses sérieuses pour une fois..monsieur le ministre...

Dès qu'elle se mit à parler, mon regard fut directement attiré par ses lèvres pulpeuses et sensuelles qui bougeaient lentement. Ce qu'elle me dit me laissa coi. Et bien ! Qu'est-ce qu'il faisait chaud aujourd'hui ? Du moins maintenant, dans mon bureau ! Elle posa les mains sur mon bureau en m'offrant une vue devant laquelle j'ouvrais de grands yeux agréablement surpris. Nom d'un p'tit ourson !

Je fixais une nouvelle fois les yeux de la belle avant de commencer à décroiser les jambes -car oui je les croises, et alors ?-, sous le charme de cette invitation corporelle. Si elle continuait ainsi, j'allais être au supplice. Ce qu'elle fit de suite en s'asseyant sur mon bureau avant de balancer ses longues jambes fines tout en suçotant un stylo. J'essayais tant bien que mal de rétrécir mes yeux qui devenaient minute après minute de grosses soucoupes. Je sentais une énorme pointe de désir monter en moi, physiquement et psychologiquement. Une chose était sûr, elle me faisait beaucoup, mais alors beaucoup d'effet.

De sa voix suave, elle me dit qu'elle voulait passer aux choses sérieuses. Sa bouche était tout près de mon oreille, aussi je n'eus pas à croire à une hallucination en entendant cette phrase pleine de sous-entendus. Mon assistante me faisait du charme... Même plus si j'en jugeais tout ce que je voyais et entendais. Elle voulait plus, beaucoup plus. Et il fallait avouer que si elle continuait sur ce chemin là, j'allais très vite succomber et lui donner ce qu'elle voulait.

A l'instant même, je me sentais magnifiquement bien. Tout les hommes avaient leurs fantasmes, et moi... Et bien... Le fait de me taper mon assistante de charme en faisait partie. Je ne m'amusais plus à classer mes fantasmes mais là... Je crois bien que je l'aurais classer en première position, au vu de son corps magnifique. Ses yeux m'enveloppèrent tout entier et je sombrais un instant dans les méandres d'une réflexion posée. D'un côté, j'étais à deux doigt de lui sauter dessus, mais de l'autre, j'étais un peu hésitant à commettre un acte que la plupart des gens qualifieraient d'irréparable -même si je n'avais pas de femme-. Enfin bon... Peu d'hommes étaient à même de résister à ce genre de tentation, et le premier qui me dirait le contraire serait un menteur, un très gros menteur.

Je ne savais pas vraiment quoi répondre à cette invitation, mais j'étais maintenant prêt à lui donner ce qu'elle désirait. Du même coup, j'allais répondre à mon fantasme et à mon désir actuel qui était... Très grand.

- Commencez donc par lâcher ce stylo...

Je me levais lentement, mesurant chacun de mes mouvements. Mon cœur battait fort, mon corps commençait à se remplir d'adrénaline. J'aimais ça. Je m'approchais de Ellea et je posais mes mains juste à côté de ses jambes avant d'approcher ma tête de la sienne. Elle n'avait désormais qu'à faire un mouvement infime pour m'embrasser. Je préférais ne pas faire le premier pas en la touchant, car une petite partie de mon cerveau, qui s'amenuisait de secondes en secondes, me disait de faire attention. Je n'avais pas envie d'être l'objet d'une mauvaise blague de sa part.

Mutine, mon assistante ne trouva pas mieux pour me mettre à bout de faire faussement tomber son stylo avant de le reprendre d'une manière... Sexy ! Laissant mon regard trainer sur son corps magnifique, je m'étais alors approché d'elle. Ma bouche n'était qu'à quelques centimètres, elle sourit et commença à m'embrasser du bout des lèvres sur le côté de ma bouche. Je n'avais qu'un mot en tête pour la désigner à ce moment là : coquine.

Je repensais à elle depuis que je l'avais connu, dès le départ, j'avais remarqué qu'elle était séductrice, comme une femme fatale, qui s'amusait à jouer avec les mâles et à les jeter après. J'avais tout de suite été attiré par elle, mais, hésitant face au statut de mon assistante - elle travaille pour moi tout de même, au sein du Ministère ! Imaginez le scandale... -, je n'avais rien tenté. Jusqu'à.. Qu'elle le fasse aujourd'hui. Je ne réfléchissais plus vraiment, là, devant elle, à quelques centimètres de la tentation suprême. Je vis quand même passer dans ma tête une fulgurante réflexion. Ellea était très amie avec Kaleigh, qui était mon amie elle aussi, et une discussion de fille comprenait obligatoirement une partie dans laquelle on parlait de mec. Je n'étais pas tellement pour que Kaleigh le sache. Mais bon, c'était en quelque sorte déjà enclenché, je n'y pouvais plus rien, et surtout ne voulais plus me rétracter.

Elle voulait jouer ? Je devais avouer que moi, pas vraiment. J'aimais beaucoup toucher et prendre la mesure de la température avec ma partenaire, mais les taquineries coquines étaient pour moi superflues. Je commençais donc à la caresser. Je fis lentement courir mes mains sur ses jambes fines, sur son bassin, et je m'arrêtais enfin sur ses hanches. Je plantais mon regard dans le sien, et, du bout des lèvres, je l'embrassais doucement. Pendant que je l'embrassais, je fis descendre ma main droite jusqu'au bas de son chemisier pour glisser ma main à l'intérieur, au contact de sa peau sans défaut, je sentis ma raison partir encore plus en lambeaux. Avec ma main gauche, j'invitais la sienne en dessous de ma veste de costume, sur ma chemise. Je n'allais tout de même pas tout faire voyons...

Spoiler:

Lorsque mes cuissses sentirent sur elles des doigts les parcourir un plaisir intense me parcourut aussi. Etre touchée, être caressée par un homme de sa trempe me fit fremir et sourire. J'avais toujours eu envie de passer à l'acte, mais le scandale me retenait.. ca et le fait que mon père..enfin mon grand père, me l'interdisait. J'en avais assez d'être docile - même si je ne l'étais pas souvent - et j'avais envie de me faire plaisir, j'avouais assez facilement que les plus vieux m'attiraient..et que ce n'était pas le premier..mais lui c'était d'autant plus excitant qu'il s'agissait de mon boss..et puis...sur le bureau quoi de plus sympa non ? Lorsqu'il continua son inspection mintieuse de mes cuisses je lui aurais presque autorisé un bilan positif pour ce contrôle... Mes sens en émoi je me laissais faire..enfin..on verrait ça... Quand il arriva sur mes hanches une de mes mains toucha la sienne et un frisson puis un choc électrique me parcourut, mes yeux bleus se perdirent dans les siens.. Ses yeux...

J'aurais regardé ses yeux des heures durant sans m'en lasser..ce corps..ce regard...ces mains.. qui pouvait résister bien longtemps ? Ok j'étais peut être différente dans mes choix, même si Kaly avait souvent les mêmes, chose que je ne lui avait pas demandé...lui plaisait il ? Elle me l'aurait surement dit vu qu'on se disait tout...parfois même les meilleures positions à prendre ! Reportant mon regard bleu azur sur lui je m'efforçais de me reconcentrer et d'apprécier le bref moment où il dominait..qui a dit que j'aimais être dominée pendant un si long moment ? A son tour il vint plonger ses pupilles dans les miennes et prolongea l'échange en apposant ses lèvres sur les miennes. Je sentis alors son autre main descendre puis remonter sous mon chemisier.. Amusée je compris par son invitation à mettre ma main en territoire étranger..et y répondis sans tarder ... Mais j'avais toujours eu une façon bien à moi d'ôter un pantalon..en espérant qu'il fasse venir un change ensuite .... Je me soustrayais à son emprise puis, habilement un regard coquin et sournoise, je descendais jusqu'à son entrejambe puis d'un coup de dent (aidé d'un petit sortilège..on est une sorcière ou pas hein) je fis lacher son pantalon qui tomba au sol... Puis mes mains glissèrent sur mes boutons que je défis lentement et découvris ma poitrine..tout en faisant apparaitre mon joli soutien gorge acheté il n'y avait pas si longtemps..et qui mourrait cruellement d'envie d'être arraché...

Certaines vipères m'avaient souvent dit que j'étais trop ..facile. Que j'aimais me fire désirer plus que tout et ce par beaucoup de types tous différents et si c'était vrai ? Et si je finissais par ne trouver personne avec qui finir mes jours ? Parfois j'y pensais, parfois l'angoisse me prenait à la gorge puis l'instant d'après on entrait en moi et les peurs disparraissaient par magie... Peur être fuyais je quelque chose..mais je savais une chose finir rongé par le chagrin n'était pas dans mes projets, on avait qu'une vie, pourquoi s'enchainer à une seule personne alors qu'on pouvait tant s'amuser..? J'aimais raconter à Kaly comment tel ou telle personne s'était retrouvée dans mes filets, elle adorait me relater ses propres exploits.. Même si elle m'aurait bien vu casée je n'en démordais pas je n'étais pas prête de l'être... Parfois je continuais de me demander ce qu'aurait pensé de moi mes parents mais lorsqu'on me posait des questions sur eux..j'étais incapable de prononcer un mot.. Je détestais montrer ce que je ressentais au plus profond de moi.. Garder le mystère était bien plus sexy de toute façon !

Dès que mes mains la touchèrent, elle sembla frissonner de plaisir, ce qui ne pouvait me faire que plus... plaisir. Mon excitation montait au fur et à mesure des secondes qui s'égrenaient lentement, tout comme mon envie d'elle. Je n'avais pas l'ombre d'une envie de la lâcher, et je me demandais qu'est-ce qui se passerait si la porte s'ouvrait tout à coup pour laisser entrer un membre du Ministère qui tomberait nez à nez avec une scène érotique -et bientôt pornographique- entre l'assistante du Ministre et le Ministre de la Magie lui même. Je crois que je serais resté accroché au corps de Ellea sans pouvoir bouger, tellement son odeur était enivrante, son physique parfait, sa bouche qui ne demandait qu'à être embrassée...

Lorsqu'elle me regarda avec ses yeux magnifiques, je me perdis presque dans la contemplation de la belle couleur de son iris. Lorsque je l'invitais à me caresser, elle sembla avoir une idée et se dégagea de mon étreinte pour m'enlever le pantalon d'une manière qui aurait exciter tout les hommes de la planète... Dont moi. Elle déboutonna ensuite son chemisier et me présenta sa splendide poitrine rehaussé d'un très joli soutien-gorge qui ne me donnait qu'une seule envie, l'arracher. Je pris tout de même le temps de caresser ses hanches, puis son dos avant de lui enlever lentement son chemisier blanc.

Avant de passer à l'exploration du reste de son corps, j'enlevais rapidement ma veste de costume, révélant une chemise blanche à manche longue qui me moulait sans le vouloir. Je déboutonnais quelques uns des boutons de mon vêtement avant de retourner voir ma chère assistante et de l'embrasser une nouvelle fois.

Si quelques heures auparavant, quelqu'un m'aurait dit que j'allais me faire mon assistante, j'aurais bien rigoler. Pour moi, c'était une femme, certes séductrice, mais peu attiré par les "vieux" comme moi. Comme quoi j'avais tort, et justement, j'étais très content d'avoir tort sur ce point. Pour l'avoir observé à de nombreuses reprises, je savais qu'elle n'était pas contre que je la reluque, puisqu'elle m'avait déjà surpris quelques fois dans cet exercice.

Je déposais un baiser sur son cou, avant de remonter jusqu'à son oreille en déposant un baiser à intervalle régulier. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas fait de "choses" avec une femme, mais je savais que la plupart adorait qu'on leur mordille l'oreille. C'était un complet mystère pour moi, mais si elles aimaient, ça ne me dérangeait pas de le faire. Je mordillais alors doucement le lobe de son oreille tandis que ma main droite dégrafais son soutien-gorge. Je laissais ma main gauche descendre jusqu'à son bassin, sur sa peau mis à nu, avant de venir titiller le bouton de son pantalon.