| | | « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg |  |
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Gwendolän N. Van Den Berg
Méphistophélès || Evil & Dangerous
▬ AGE : 36
▬ NOMBRE DE MESSAGES : 23
▬ LOCALISATION : On joue à cache cache ?
▬ BAGUETTE MAGIQUE : Noyer et nerf de coeur de dragon, 30 cm, impitoyable
▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : Polynectar ~ Imperium
{ True.Blood
▬ RACE: Vampire
▬ MY SIDE: Vampire démoniaque.
▬ RELATIONSHIPS:
 |  Sujet: « Il reste peu de temps. L'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg  Ven 10 Juil - 0:57 | |
| G W E N D O L Ä N . N I C O L A S . V A N D E N B E R G
« Who I am in this strange world…? »
[X] Fiche rp [ ] Fiche normale.
x. Identity Card.:; Nom & Prénoms : Gwendolän Nicolas Gabriel Phénix Van Den Berg. Mon premier prénom est d'origine celtique, venant à l'origine d'un prénom féminin, Gwendolyn. 'Gwen' voulant dire « blanc », « heureux » et 'dolyn ou dolän' veut dire « cercle » en celte. Van Den Berg est le nom d'une très grande et noble famille de vampire d'origine néerlandaise. Ce qui signifie « Des montagnes ou des colines ». L'un des surnom que ses parents lui donnait souvent aussi était Méphistos ou Méphistophéles. .:; Lieu & Date de Naissance Âge: Je suis né un 15 novembre 1863. J'ai donc aujourd'hui 137. Mais j'ai l'apparence d'un homme de 21 ans. Je suis né, par ailleurs, dans une petite bourgade d'Irlande qui se prénome Galway. C'est une bourgade très tranquille et très peu peuplé,idéale pour y installé une famille de vampire, sans attirer les regards indiscret. .:; Lieu de résidence actuel: Londre et plus précisément au Piccadily Circus. .:; Race: [X]Vampire [] Loup-Garou [] Sorcier [] Changeur .:; Pouvoir: Contrôle du feu. .:; Clan: Le Clan de Longsdale .:; Métier et/ou rang dans la société: Chef du département de contrôle & régulation des créatures magiques, à la place de Landon Julian McGregore. Mais en réalité espion et tueur à Gage pour le compte de Longsdale. Descendant d'une famille trés noble néerlandaise, j'ai pour titre " Duc Gwendolän Van Den Berg". x. Soul's Revelation.:; Patronus: Un phénix .:; Sortilège fétiche: L'imperium ~ Qui ne rêverait pas d'avoir quelqu'un sous son contrôle ? .:; Potion ou drogue favorite: Polynectar ~ Prendre l'apparence de quelqu'un pour encore mieux tromper les apparences. Qui n'en rêverait pas ? .:; Animal préféré: Le phénix. Animal qui sous ses apparences mignones et angéliques peut montrer une puissance et un pouvoirs sans pareil. .:; Couleur favorite: Le rouge. Couleur du sang, couleur du feu, couleur de la colère. .:; Groupe sanguin qui vous ouvre l'appétit? J'adore tout les groupe sanguin, mais mon petit péché mignon est le O positif. .:; Thème musical: Gothique - Spoiler:
x. Under Your Mask.
.:;Prénoms ou pseudo: Johann
.:;Âge: 18 ans
.:;Nombre d'année de rp dans les pattes: hum … moins d'un an ...
.:;Comment avez-vous découvert le forum? J'étais sur mealificarum.
.:;Que pensez-vous du design? Du contexte? Bref du forum en lui-même? **O** Je suis fan à 350 %
.:;Note de présence sur 10: Je serais tenté de dire 10, mais on ne sait jamais ce qui peux se passer.
.:;Célébrité sur l'avatar: Chad Michael Murray
.:;Code du règlement: OK by Evaly
Dernière édition par Gwendolän N. Van Den Berg le Sam 11 Juil - 4:47, édité 5 fois | |
|  | | Gwendolän N. Van Den Berg
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Ven 10 Juil - 0:58 | |
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Chapitre Un « Où comment apprendre que l'on est un monstre »
Berisping one "Waar hoe te leren dat wij een monster"
Le silence. Pas un véritable silence, mais un silence tout de même. On pouvait entendre des chuchotements. Quelqu'un qui parlait. Deux personnes. Un homme et une femme. Non plutôt un Vampire et sa femelle. Leur voix, si cristalline, si magnifique, tel un son de cristal résonnait et faisait écho. Il était là, dans sa chambre, éclairer par la simple lueur de la bougie poser sur sa table de nuit.
«Il faudra un jour qu'il sache! »
« Mais, non, il n'a pas besoin. Il se déteste déjà assez ainsi, à cause de ses pouvoirs, à cause du chat de madame Tigletown, alors ne lui rajoutons pas d'autres idées, qui lui feront penser qu'il est à l'origine de tous les malheurs du monde. »
« Je n'ai jamais dit que je voulais cela » déclara la voix féminine « Mais je veux qu'il prenne conscience de ce qu'il est, je veux qu'il prenne conscience, qu'il n'est pas comme les autres sorciers de ce monde et qu'il est encore plus différent des moldus. Et puis pour le chat de madame Tigletown, tu sais très bien qu'il s'agissait d'un accident. Il est encore jeune, il ne maîtrise pas vraiment encore ces pouvoirs spéciaux. »
« Tu te rends compte. Il a à peine regarder le chat et il a pris feu. Tu te rends compte du potentiel qu'il possède ? Et tu n'as pas peur de provoquer, une de ces crises lorsque tu lui annonceras comment il est né ? Tu sais très bien qu'il est incontrôlable dans ce genre de situation. Nous n'avons pas eu la chance d'étudier la magie. Nous ne pouvons pas nous protéger de lui. »
« Je préfère qu'il l'apprenne par nous que par quelqu'un d'autre. Et puis tu sais malgré le fait que ton fils soit puissant et qu'il soit très sensible au monde qui l'entoure, qu'il ressente ces sentiments, n'empêche pas qu'il soit très fort mentalement. Il réussira à assumer. Il comprendra. Il tiendra le coup. Il a énormément de force mentale »
C'était donc de lui qu'ils parlaient. Mais pourquoi ? Quel était le sujet de cette conversation ? Pourquoi parlait-il de sa force de caractère, de sa sensibilité et surtout du fait qu'il ai carbonisé un petit peu plus tôt dans la journée le chat de Madame Tigletown d'un simple regard ? Il avait beau être intelligent, Il ne comprenait pas tout. Il fallait qu'ils entre un peu plus dans les détails. Sinon il allait être obligé de leur poser la question. Et là, ce serait sans doute moins une partie de rigolade.
« Je ne doute pas de sa force. Je sais qu'il est très fort. Il n'a jamais pleuré, ni même une fois dans sa vie. Alors, je ne doute pas de cela. J'ai simplement l'impression qu'il affiche ce sourire, simplement comme une sorte de carapace, pour montrer aux autres que tout va bien et que finalement et bien qu'il porte un poids, le poids du monde, son poids sur ses épaules. Et je ne veux pas rajouter à ce poids un nouveau d'une importance assez considérable. »
« C'est un Vampire, il ne porte pas le poids du monde sur ses épaules. Tu te fais des films Riwallig. Ne t'inquiète pas, il prendra la nouvelle, comme elle viendras et tout se passera bien. Je te l'assure. N'oublie pas, je peux voir l'avenir »
« Un avenir qui est toujours incertains. Et qu'as-tu vu sur sa réaction ? Comment va-t-il réagir, lorsqu'il apprendra, qu'il a bouffé ta chair, qu'il a été dans l'obligation de dévorer ton ventre et les organes aux alentours pour pouvoir naître ? Comment le prendra-t-il lorsqu'il apprendra que par sa faute, sa mère à failli mourir ? Hein ? Dis le moi Aisleen, toi qui sais apparemment tout ! »
« Moins fort, il pourrai nous entendre. Il le prendra fort bien. Il est fort notre fils. Il est le descendant de la composition des deux familles de vampire les plus puissantes des Pays Bas et d'Irlande. Et puis on lui expliquera que c'était la seule solution, qu'il n'avait pas le choix et que si je suis toujours en vie aujourd'hui, c'est un peu grâce à lui. »
« Un peu grâce à lui ? Tsss, tu parles, il a fallu que l'on égorge plus d'une cinquantaine d'humain pour que tu cicatrises de ses morsures. »
« Ce passage sera bien sûr occulté lors de notre entretien avec lui. » déclara-t-elle d'une voix très mélodieuse avec un accent qui sous-entendait qu'elle souriait.
« Mais bien sûr mon amour » sur le ton de l'ironie « Allons chassez maintenant et laissons le dans sa chambre pour le moment. Nous lui en parlerons demain. »
« Oui je pense en effet, qu'il vaut mieux attendre demain. Une fois que l'euphorie de son anniversaire d'aujourd'hui sera redescendu. »
Le silence était maintenant totale. Aucun bruit dans le manoir des Van Den Berg. Il n'arrivait pas vraiment à réaliser ce qu'il venait d'entendre à l'instant. Il se repassait ces dernières phrases échangées entre ses géniteurs dans sa tête. Il ne se rappelai plus vraiment des mots exactes, mais certains d'entre eux restèrent gravé dans sa caboche « bouffé ta chair », « morsure », « cinquante humains pour que tu cicatrises » .
Il connaissait sa nature, il savait qu'il était un vampire. Il ne pouvait se passer du sang humain. Même s'il s'agissait d'innocent, cela lui était égale. Mais c'était cette infime possibilité d'avoir eu l'occasion de tuer sa mère qui le rendait si déboussoler, si mal à l'aise, si mal tout court. Il aimait tellement ses parents. Il aimait tellement sa famille, que jamais, oh non jamais, il ne ferait rien qu'il leur serait déloyale, ou même qui les ferait souffrir à ce point. À ce moment précis, il se dégouttait. Il ne trouvait pas d'autre mot pour exprimer ce qu'il ressentait à son égard. Il se leva tranquillement, avec autant de souplesse et de légèreté qu'un plume et avec autant de silence qu'un chat marchant sur des gravillons. Lorsqu'il voulu marcher, il ne titubait pas. Pourtant, il aurait dû, tout du moins, s'il avait été un simple motel. Il avança vers son miroir. Il voulait regarder son reflet. Il voulait voir en face, le monstre qu'il était. Il ne paraissait pourtant pas très âgé. Il venait tout juste de fêter ses trente- quatre ans d'âge Vampirique. Aujourd'hui même. Et pourtant il paraissait en avoir simplement que cinq. Et pourtant, il mesurait la graviter de ses actes. Comment cela se passait-il chez les autres familles de Vampire. Les nouveaux étaient-ils réellement obliger de déchirer les entrailles, la peau dure comme de la roche de leur mère, pour enfin naître ? Il touchait son visage, pour voir, s'il ne portait finalement pas un masque. Pour voir si derrière ce visage angélique, ne se cachait finalement pas un démon. Un démon féroce assoiffé de sang, qui aurait pu faire de tels choses à sa mère. Qui aurait pu faire cette chose horrible, que de lui infliger des souffrances physiques. Et pourtant, la déception était belle et bien présente. Il ne portait aucun masque. Il était simplement lui. Beau, malgré son apparence enfantine. Inspirant la confiance et dégageant un charme sans pareil. Comment était-ce possible ?
La nuit était paisible, le silence régnait au manoir et le jeune Gwendolän, venait d'apprendre la chose la plus horrible qu'il soit d'apprendre pour un minot. Il était conscient aujourd'hui, qu'il était bel et bien un monstre. Une créature si belle et pourtant si démoniaque.
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| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Ven 10 Juil - 0:59 | |
| Chapitre deux « Où comment le mensonge peut pourrir tout une vie, une famille et un gamin »
Hoofdstuk twee "Waar hoe de leugen kan rotten nogal een leven, gezin en een geitjes" Le soleil commençait tout juste à lever. Les couleurs rouges, violettes et bleus commencèrent à apparaître dans le ciel tandis que le noir et les étoiles disparaissaient. Il était là, dans la bibliothèque du manoir. D'habitude, il y était toujours fourré pour lire les livres à sa disposition, mais cette fois-ci, il était parti la veille en ville à Galway chercher toute sorte de sources, toutes informations possibles qu'il pouvait trouver sur les vampires, chez les moldus. Il était curieux de savoir comment les moldus, pouvais voir les personnes, comme lui, les personnes de sa race. Il voulait aussi savoir ce que les sorciers connaissaient des Vampires. Cela l'obsédait. Il ne savait pas très bien pourquoi, mais il voulait connaître ceux à quoi il allait devoir se confronter plus tard. Et même s'il ne demandait pas à « ses repas » ce qu'ils pouvaient bien penser des Vampires, s'ils avaient déjà imaginé une seule fois, si les légendes que leurs ancêtres avaient compté à leurs fils étaient vrais, il avait besoin de savoir, l'image que sa race pouvait donner aux moldus, aux sorciers, amis aussi à eux-même. Durant toute la nuit, il était resté là, à étudier tout. Tout ce qu'il avait réussi à trouver. « Mort qui, suivant la superstition populaire, sort du tombeau pour sucer le sang des vivants. » « Les Vampires sont sanguinaires. Ce sont des gens qui ont un besoin très fort, celui de consommer du sang. Il y a deux catégories : ceux qui en ont besoin pour survivre et ceux qui ne peuvent se passer de son goût. », « A la nuit tombée, celui-ci allait de maison en maison et aspirait la vie des gens qu'on retrouvaient morts le lendemain. À cause de telles histoires, les docteurs étaient obligés de déterrer le corps du 1er mort et de lui planter un pieu dans la poitrine. Des rapports médicaux de l'époque racontent que les cheveux et les ongles du mort avaient poussé et que le sang coulait à flots du cadavre quand on y enfonçait le pieu. » Toutes ces légendes, relatait des monstres sans aucune pitié, incapable de ressentir quelque chose, au besoin sanguinaire incommensurable. Mais les légendes moldus n'étais rien comparé aux légendes sorcières. « Associés à la Roumanie et à la Transylvanie, les vampires sont craints et détestés par beaucoup. Les centaures, par exemple, ne les apprécient pas du tout. Ils sont souvent étudiés en cours de défense contre les forces du mal. » Blessé, choqué, offusqué, un mélange de sentiment lui traversait l'esprit. Alors, les Vampires étaient si ... si ... aucun mot ne lui venait pour expliquer ce que pouvait bien représenter sa race. Chaque écrits, chaque plumes ayant griffonné chaque parchemin passés entre ses mains ne différaient pas. Les Vampires étaient d'horribles monstres, sanguinaires, sans aucune pitié, qu'il fallait à tout pris rasé de la surface de la terre.Encore une fois, le jeune homme se leva pour aller se voir dans le miroir. Le soleil commençait sa pénible ascension dans la mer bleue turquoise. Il s'approcha de la grande armoire datant du onzième siècle. Orné de gravure à même le bois, un grand miroir trône en plein milieu, du meuble ancien. Il se regarda durant de longue seconde, même durant plusieurs minutes. Aujourd'hui il allait bientôt avoir 62 ans, il en paraissait 9. Et selon lui, il avait beau se regarder, il ne ressemblait en aucun cas à un monstre. Il ne ressemblait pas à ces monstres assoiffé de sang, à ces monstres de la nuit, qui terrifiait tant ces moldus. Il n'arrêtait pas de se répéter, que ces gens ne connaissaient pas les vampires, que ces gens, avait tout simplement peur de ce qu'ils pouvaient ignorer. Mais en temps, tout ce qu'il venait de lire, lui revenait en pleine face. Mais alors qu'il allait continuer sa contemplation dans ce grand miroir baroque, il entendit des bruits de pas feutré venir vers la bibliothèque. Avec toute l'aisance, la rapidité et la souplesse que lui conférait sa race, il se précipitait sur les reliques qu'il avait empruntées, pour les cacher, les confondre avec la multitude de livre qui se trouvait dans la pièce. Quelques secondes plus tard, sa mère, Aisleen, poussait la porte de la salle du savoir, comme elle l'appelait souvent. Elle se déplaçait, telle une danseuse, avec une grâce qu'aucune autre créature sur cette terre ne pouvait égaler. Elle arriva en moins de deux secondes auprès de son fils, qui lui cachait affichait un de ses sourires hypocrites, mais qui ravissait toujours sa génitrice. « Alors, mon amour, que traficotes-tu dans la salle du savoir ? Tu sais on a pour l'éternité pour connaître tout ça. Tu n'es pas obligé de tout savoir tout maintenant, avant d'atteindre tes 70 ans. » déclara-t-elle avec un grand sourire.
« Oui oui, je sais, mais j'aime tant lire ... » avec une voix un peu terne vers la fin. « Maman ? Je peux te poser une question? »
« Mais bien sûr. Je t'écoute mon enfant. Parle »
« Comment les moldus mangent-ils ? »
« Comment ça ? »
« Que mangent-ils ? Tuent-ils pour pouvoir manger ? »
« Oui, ils tuent les animaux. Il mange la chair animal. Certains d'entre eux, bien sûr refuse de manger ainsi et ne mange que des plantes, des végétaux, mais la plupart, tue des animaux pour manger. Pourquoi me poses-tu cette question ? »
« Et les sorciers, mangent-ils comme les moldus ? »
« Oui ... mais enfin Gwendolän Nicolas, dis-moi ce que toutes ces questions trament-elles ? »
« Alors, pourquoi est-ce que si eux tuent aussi pour survivre, pour se nourrir, pourquoi, sommes-nous autant détesté ? Pourquoi nous blâmer parce que nous ne faisons que survivre ? Nous ne sommes pas des monstres assoiffés de sang, c'est simplement un moyen pour nous de vivre. Alors, pourquoi, nous detestent-ils autant ? Pourquoi nous réprimander ainsi, alors que nous avons seulement des besoins naturels ? »
« Je ... »
« Pourquoi ? Je ne suis qu'un enfant, mais ... je ne suis pas ces monstres horribles décrits par les moldus et les sorciers, je ne suis pas ces bêtes de la nuit qui ne se voient pas dans leur miroir, qui ne supportent pas l'ail et qui craigne l'eau bénite et le feu. Je suis simplement un Vampire qui a besoin de vivre. Alors, pourquoi ? »
« Ne te pose pas ces questions. C'est te faire du mal pour rien. Tu es, comme tu l'as dit un petit Vampire, qui vie simplement, alors arrêtes. Tu ne fais aucun mal. Tu es même le plus merveilleux des vampires. Tu es un véritable ange. Ne t'embrumes pas l'esprit ainsi. Nous ne faisons rien de mal. Je te le promets. Je te le jure. Et tu le comprendras au fur et à mesure que tu grandiras. Alors, arrêtes. Nous ne sommes pas des monstres. Nous ne sommes pas des monstres. Ne penses plus à cela. »
« Oui maman ... » Le mensonge était tellement présent dans l'esprit de la mère du jeune homme, qu'il n'avait pas besoin d'être télépathe pour le savoir. Il savait par contre qu'elle avait raison. Il n'était pas plus un monstre que ces moldus ou que ces sorciers. Il n'était pas un monstre. Non, pas un monstre.
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| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Ven 10 Juil - 1:00 | |
| Chapitre trois "Où comment apprendre que sa vie va basculer du tout au tout"
HOOFDSTUK drie ", waar hoe leren dat zijn leven zal valt over volledig" Galway « Riwalig ? Riwalig, vient là. Il l'a reçu. Elle vient tout juste d'arriver. »
« Mais de quoi tu parles ? Et pourquoi tu chuchotes ? »
« Baisse d'un ton. » ordonna-t-elle d'un ton ferme « La lettre. Celle de Poudlard. Notre fils aura la chance que nous n'avons pas eue. Il ira étudier la magie, il deviendra l'un des plus grand sorcier vampire de l'histoire. En plus, avec son pouvoir de contrôler le feu, il est véritablement prédisposé pour devenir l'un des meilleurs. Le meilleur. »
« Elle est vraiment arrivé ? Mais ... Mais c'est extraordinaire. Il faut lui annoncer la nouvelle. Il faut lui dire. »
« Je suis d'accord, mais il y a une clause dans cette lettre. En aucun cas, il ne doit révéler sa véritable identité. En aucun cas, il ne doit révéler aux autres élèves, qu'il est un vampire. »
« Ne t'inquiète pas pour cela. Il s'en sortira très bien. Notre fils est un très bon comédien. Gwen ? Gwen viens ici, s'il te plaît »
La voix de son père lui arrivait tout doucement, comme une douce mélopée au niveau de ses organes auditifs. Avec une vitesse sans pareil, il arrivait auprès de celui qui venait de l'appeler, sans aucun bruit. Il ne prononçait aucun mot, mais son visage signifiait qu'il attendait des réponses.
« Nous ne t'en avons pas parlé avant, mon amour » commença sa mère « Mais voilà, nous venons de ... enfin cela fait depuis longtemps que nous avons ... »
« Ce que ta mère essaye de t'expliquer Gwen, c'est que le jour de ta naissance, nous t'avons inscrit à l'école de magie Poudlard et nous venons de recevoir un hibou, nous informant que tu étais enfin accepté cette année dans cette école de sorcier. Tu y étudieras la magie, tu deviendras l'un des plus grand. »
Ils jubilaient. Ils ne tenaient plus en place. Et le jeune homme avait beau se repasser ces dernières paroles, il ne réalisait pas encore ce que cela impliquait. Il allait enfin pouvoir montrer au monde entier, ce qu'il valait réellement.
« Par contre, c'est la première année ou des Vampires et des Loups ser ... »
« Quoi ? Il y aura aussi des loups ? Il n'y va pas alors ! » déclara son père
« Non! Je ne sais pas qui sont ces loups, mais je veux y aller et j'y irais. Je veux enfin prouver qui je suis vraiment. J'ai beau ne paraître qu'un enfant que de 11 ans, j'ai 75 ans tout de même. J'irais à Poudlard, l'année prochaine, quoi que vous en disiez »
Sa mère jeta un regard furtif à son père. Elle souriait très fortement. Quant à son père, il n'était pas plus choqué que cela. Il connaissait bien son fils, il savait que lorsque ce dernier avait décidé quelque chose et bien rien ne pouvait l'arrêter vers son but.
« Tu ne devras en aucun cas, déclarer ta véritable nature. Tu es un véritable humain, sorcier. Essaye de ne pas trop faire cramer des choses sur ton passage. Et en aucun cas, n'attaquer ses loups. As tu compris ? Si tu révèles ta véritable identité à de simples sorciers, tu seras alors chassé de l'école. En es-tu bien conscient ? »
« Oui. J'en suis conscient. Je ne vous décevrais pas. Et en ce qui concerne ces loups, je suppose qu'il s'agit des lycans ou autrement appelé Loup-garou. Ne vous inquiétez pas, c'est eux qui devrait avoir peur de moi ! »
*****
Londres
Cela faisait plus d'une heure que nous avions quitté la gare. C'était la première fois qu'il venait en Angleterre, qu'il voyait Londres. Malheureusement, il n'eut pas assez de temps pour tout voir, mais ce fut l'un des premiers moments magiques et clé de sa vie. Déjà des groupes d'élèves c'était formé. Le jeune Gwen, c'était alors retrouvé dans un Wagon avec six autres jeunes personnes. Seule une seule personnes parmi eux était un vampire. Tous les autres était de simples humains. Les deux vampire, c'était regardé, mais aucun des deux n'avaient fais de premier pas pour avoir un semblant de relation sympathique entre eux deux. Il n'était pas vraiment là pour ce faire des amis. Du moins pour le moment. Chacun, parlait de la maison à laquelle, ils voudraient appartenir. Chacun y allait de son petit commentaire. Et chacun voulait appartenir à telle ou telle maison, pour telle ou telle raison. Gwendolän, faisait mine de ne pas être intéressé par ce qui était en train de se dire
« Moi j'aimerais être chez les Serpentard, c'est là-bas que vont les meilleurs, les plus rusé, les plus intelligents, les plus doués en magie »
« N'importe quoi, ce sont les Griffondors les meilleurs, ils sont brave courageux, tandis que les Serpentards, sont vils, avide de pouvoir. »
« De toute façon, rien ne sert d'espérer avidement d'appartenir à telle ou telle maison. Le choipeaux à tous les pouvoirs, dont celui de lire en vous. Les êtres qui méritent d'aller à Serpentard iront à Serpentard, sinon les autres seront répartis dans les autres maisons. »
La dernière personne qui venait de parler, avait parlé d'une voix tellement clair et d'une voix tellement chantante que tout le monde fut obligé de s'arrêter de parler pour l'écouter. C'était l'autre vampire. Et durant sa courte tirade, il avait fixé son congénère. Comme s'il avait deviné que le jeune Gwendolän, ne voulait pas donner l'image d'un vampire horrible et si monstrueux. Même si au fond de lui jamais, il ne changerait pas sa nature. Il voulait sauvegarder les apparences, car dans le fond, seules les apparences comptaient. C'étaient elle qui avaient poussé le monde à détester tous ceux de sa race, alors il fallait que lui aussi joue dessus. Pourquoi les moldus et les simples sorciers seraient les seuls à profiter d'armes ? Ne valait-il pas mieux se battre à arme égale ?
Alors que la nuit tombait, nous première année étions mis de côtés. Nous allions rejoindre le château par les vois de l'eau. Nous serions alors le centre d'intérêt de la soirée.
« Je n'suis pas d'une beauté suprême
Mais faut pas s'fier à ce qu'on voit
Je veux bien me manger moi-même
Si vous trouvez plus malin qu'moi
Les hauts-d'forme, les chapeaux splendides
Font pâle'figure auprès de moi
Car à Poudlard, quand je décide,
Chacun se soumet à mon choix.
Rien ne m'échapp' rien ne m'arrête
Le Choixpeau a toujours raison
Mettez donc sur votre tête
Pour connaître votre maison.
Si vous allez à Gryffondor
Vous rejoindrez les courageux,
Les plus hardis et les plus forts
Sont rassemblés en ce haut lieu.
Si à Poufsouffle vous allez,
Comme eux vous serez juste et loyal
Ceux de Poufsouffle aiment travailler
Et leur patience est proverbiale.
Si vous êtes sage et réfléchis
Serdaigle vous acceuillera peut-être
Là-bas, ce sont des érudits
Qui ont envie de tout connaître.
Vous finirez à Serpentard
Si vous êtes plutôt malin,
Car ceux-là sont de vrais roublards
Qui parviennent toujours à leurs fins.
Sur ta tête pose-moi un instant
Et n'aie pas peur, reste serein
Tu seras en de bonnes mains
Car je suis un chapeau pensant ! »
Le discourt du choipeaux, eux alors pour effet de donner un déclic au jeune Vampire. Il voulait aller à Poufsouffle. Toujours les apparences. Mais en même temps il repensait à ce que le jeune vampire avait dit un peu plus tôt dans le train. Cela signifiait-il qu'il irait quand même à Serpentard malgré son envie de tromper ?
Une grande dame, s'avança, avec un long parchemin dans la main. Elle se racla la gorge et commença à appeler, chaque nouvelle arrivant, pour qu'il s'avance et qu'il subisse le test du Choipeau magique. Chaque élève s'avançait un par un. Ils étaient tous répartis. Mais ce qui inquiétait le plus c'était que la plupart des vampire étaient envoyés à Serpentard. Beaucoup d'autres à Serdaigle.
« Van Den Berg, Gwendolän »
La respiration haletant, le jeune vampire s'avançait sous le regard curieux de chaque sorcier présent dans la grande salle. Il s'installa sur la chaise et on lui posa un lourd chapeau sur ses cheveux blonds.
*Poufsouffle, Poufsouffle, Poufsouffle, Poufsouffle, Poufsouffle, Poufsouffle, Poufsouffle, Poufsouffle, Poufsouffle, Poufsouffle*
« Tu as toutes les qualités requises, pour aller dans chaque maison, tu as beau me souffler la maison d'Olga, tu serais beaucoup mieux à Serpentard ... hum ... POUFSOUFFLE. »
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| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Ven 10 Juil - 1:00 | |
| Chapitre quatre "Où comment faire du mal à sa meilleure amie, sans le vouloir"
HOOFDSTUK vier "waar hoe tot pijn doen haar beste vriend, onbedoeld" Il était là. Dans son lit. Aucun bruit. Il avait les yeux ouverts. La nuit était tombée et il avait fait comme chaque soir depuis sept ans. Il était parti se coucher, tout du moins faire semblant de se coucher pour ne pas éveiller les soupçons. Comme d'habitude, il avait suivi ses camarades de chambré. Comme d'habitude, ils avaient parlé et surtout rigoler un bon coup avant de réellement prendre la décision d'essayer de s'endormir. Comme d'habitude, il avait attendu que le coeur de chaque personne dans la pièce atteigne une fréquence signifiant que cette même personne venait de s'endormir. Comme d'habitude, il attendait sagement le temps qu'il fallait pour ne jamais qu'on le soupçonne de quoi que ce soit. Et comme d'habitude à chaque fois qu'il sortait, une personne l'attendait en bas, pour le dissuader de ce qu'il allait faire chaque nuit. Cette personne était une personne très chère au coeur de Gwen. Il s'agissait de l'une de ses meilleures amies. Si ce n'est sa meilleure amie. Ils étaient tout deux de la même race. Il se comprenait. Elle avait beau être plus jeune que lui, il se comprenait. Elle était comme la soeur qu'il n'avait jamais eu. Il pouvait tout se dire, tout. Et jamais, il ne manquait pas une occasion pour être franc l'un envers l'autre. Et comme d'habitude à chaque fois, chaque soir, c'était la même scène qui se rejouait comme dans un vieux film. Aucun des deux partis ne voulaient changer d'argumentation et ne voulaient changer de position. À chaque fois cela le rendait triste, mais cette affrontement était nécessaire selon elle. Il s'agissait d'Ashley. Ashley Mae Schwimmer. Elle était aussi à Poufsouffle. Mais elle était, comme on pouvait appeler ce genre de vampire vulgairement, végétarienne. Elle avait décidé de ne boire que du sang animal. Alors que le jeune Gwen, lui, avait le choix de s'abreuver du sang d'humain.
Comme chaque soir, il sortait de sa chambre avec autant de silence qu'un chat marchant sur des gravillons. Mais alors qu'il arrivait à peine dans la grande salle commune des jaunes et noirs, elle se leva de sa chaise et fit front au séduisant Van Den Berg.
« Tu vas encore les rejoindre ? »
« Comme chaque soir Ashley. Laisse-moi passer ! » déclara-t-il sèchement, mais surtout lasse de cette situation qu'il avait l'impression de voir répéter à l'infini et pour l'éternité.
« Non, je ne te laisserais pas passer aussi facilement, tu le sais très bien. Explique moi encore une fois, pourquoi tu choisis cette voie, plutôt qu'une autre, meilleure. »
« Meilleure pour qui ? Toi ? Mes victimes ? Moi ? Chacun fait ses choix, chacun choisis sa voie, tu ne me feras pas changer d'avis. Tu es une jeune vampire, tu ne comprends pas encore. J'ai plus d'un siècle d'existence, lorsque tu arriveras à cet âge là, tu pourras peut-être enfin comprendre mon point de vue. »
« Tu me sors ça à chaque fois. C'est ton seul argument ou quoi ? »
« Non, ce n'est pas mon seul argument, mais c'est le seul que tu ne peux pas réfuter. Je ne comprends pas d'ailleurs comment tu fais pour résister à l'appel de ce liquide si frais, si bon à l'odeur, amis aussi au goût. Tu es vraiment simplette de te priver d'un met si délicieux. »
« Moi simplette ? » elle commençait à rentrée dans une rage palpable « je ne suis pas simplette, j'ai juste la force que tu n'as pas. J'ai juste cette volonté que tu n'as pas et que d'ailleurs tu refuses d'avoir. Pourtant, je sais très bien, que tu pourrais l'avoir cette volonté. Mais comme d'habitude tu ne fais aucun effort. »
« Bon c'est bon ? T'as finis ton cirque ? Tu me laisses passer ? Je commence à avoir faim là. »
« Non. »
« Comment ça non ? »
« Ce soir, je ne te laisserais pas sortir. Je ne peux pas. Ça m'est impossible de savoir que parce que je n'ai pas réussis à te retenir, des innocent vont mourir ce soir. »
« Ash, tu sais très bien que ce n'est pas de ta faute » déclara-t-il d'une voix mielleuse, comme pour amadouer la jeune femme devant lui « C'est moi qui tue, ce n'est pas toi. Alors laisse-moi passer. Tu n'as pas à te rendre malade ainsi. Tu n'as pas à te rendre coupable de mes actes. Laisse-moi passer maintenant. »
« Non. Je me demande comment tu as pu te retrouver à Poufsouffle. Tu aurais dû être envoyé à serpentard. Tu es vil, vicieux, arrogant, rusé, manipulateur comme toutes ces vipères. Tu ne mérites pas de porter les couleurs d'Olga Poufsouffle. »
Elle venait de toucher un point sensible. Elle savait, qu'il avait tout fait pour se retrouver à Poufsouffle, pour ne pas éveiller les soupçons, pour montrer une autre image des Vampires aux autres, pour montrer que finalement, leur légendes n'étaient pas vraie, du moins en apparence elles n'étaient pas vrais. Car, même s'il voulait montrer au monde entier que les Vampires n'étaient pas ces monstres assoiffés de sang, ces monstres des ténèbres, en réalité, il prouvait aussi ces dires. Il voulait que l'image des Vampires remonte dans les estimes de chacun, c'est pour cela qu'il avait fait tout cela, c'est pour cela qu'il s'occupait tant à montrer une image si parfaite, une image idyllique, du parfait petit vampire, car seules comptaient, dans la société d'aujourd'hui, les apparences. Ne pouvait-elle pas comprendre ça ? Le jeune homme commençait à s'énerver. Sa respiration devenait de plus en plus haletante. Et il savait ce qui allait se passer s'il ne se calmait pas tout de suite. Elle aussi savait très bien ce qui allait se passer, s'il n'arrivait pas à se détendre dans les minutes qui allaient arriver. Mais justement elle voulait le pousser à bout.
« Tu sais bien que si je ne me calme pas, je vais tout brûler, y compris toi. Tu sais très bien que les vampires sont très sensibles au feu. Alors laisse-moi sortir, je vais aller me calmer les nerfs dehors. »
« Non »
« Ash !! Je vais plus pouvoirs tenir longtemps. » déclara-t-il en serrant les dents.
« Une fois tes nerfs calmer, tu reviendras me voir, ou tu iras les rejoindre. »
« Tu parle de Ailyn & de son clan ? Je ne sais pas. Je verrais bien. »
« Oui, je parle bien d'elle. Je parle bien de ta chérie. »
« Ce n'est pas ma chérie » encore plus énervé
« Ouè c'est ça. T'as vu comment elle te regardait ? Et comment toi tu la regardais ? »
« Tu me fais pas une scène de jalousie maintenant. Ailyn et moi on est pas ensemble. Mais ça tu n'as pas l'air de le comprendre. Laisse-moi passer maintenant et arrête de me souler avec ça. »
« Je ne te fais pas une scène de jalousie! »
« Ash ! Laisse-moi passer »
La jeune femme comprenant, qu'il en répondait de sa propre vie, mais aussi de celles de toutes les personnes présentes dans ce château, elle se décala de quelques pas sur le côté, pour laisser le libre accès à son meilleur ami. Le regard baisser, si elle avait pu pleurer, elle l'aurait sans doute fait. Gwen, quant à lui, ne regarda même pas le séduisante vampire. Trop énervé pour cela, il passa son chemin, sans un dernier mot, pour celle qu'il venait blesser, une nouvelle fois. Malheureusement.
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| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
Méphistophélès || Evil & Dangerous
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▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : Polynectar ~ Imperium
{ True.Blood
▬ RACE: Vampire
▬ MY SIDE: Vampire démoniaque.
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Ven 10 Juil - 1:01 | |
| Chapitre cinq « Où comment comprendre que la guerre vient tout juste de débuter »
HOOFDSTUK vijf "waar hoe om te begrijpen (omvat) dat de oorlog heeft nauwelijks net begonnen" Poudlard Il était là, dans les couloirs. Il ressentait le feu, la chaleur contre sa peau, contre ses yeux. Il ressentait le fumé s'insinuer dans ses poumons. Il entendit un toussotement à côté de lui. Il se ressaisit et se rappela qu'une jeune humaine se tenait à ses côtés. D'habitude, il aurait profité de l'occasion d'être seule avec elle pour la tuer et en faire son dîner du soir et pourtant ce n'était vraiment pas l'envie qui manquait, mais là, ce soir, ce n'était pas possible. Il devait sauver cette jeune femme. Il ne la connaissait pas bien. Il savait qu'elle se prénommait Lexane Chesten. Elle appartenait à la même maison que lui. Et malheureusement ou heureusement pour elle, elle venait de croiser le jeune Duc néerlandais durant son escapade nocturne. Pour être franc, il est vrai, que le jeune Gwendolän eut un moment d'hésitation. De la chair toute fraîche à porter de main, alors que sa gorge commençait à crier famine. C'était vraiment tentant. Mais lorsque l'incendie se déclara, cette idée loufoque le quitta de suite. Pourtant, il aurait pu assouvir sa soif. Personne n'aurait pu l'accuser de quoi que ce soit. Elle serait morte dans l'incendie, tout le monde aurait cru qu'elle avait péris en tentant de s'enfuir, ou alors brûler dans son sommeil, ou pire encore, totalement écraser par sa chute de plusieurs centaines de mètres en voulant échapper aux flammes. Pourtant, il ne savait pas trop pourquoi, ni ne comprenait, pourquoi, il voulait sauver sa vie, pourtant inutile.
Le feu se montrait de plus en plus menaçant. Il approchait à vive allure. C'était bizarre, parce que, le jeune homme était un vampire ayant un pouvoir hors-norme, celui de contrôler le feu justement. Et pourtant, il n'arrivait pas à le stopper, ni à le faire diminuer. C'était comme si ce feu, n'était pas un feu ordinaire. Comme si ce feu, provenait d'une magie beaucoup plus forte, qu'un simple feu, comme ce qu'il pouvait créer. Que pouvait-il bien faire ? Il savait très bien qu'aucun sort ne pourrais stopper la progression de ces géantes qui mangent tout sur leurs passages. Il essayait de percevoir, un bruit, un son, qui lui permettrait de faire sortir la demoiselle et lui-même par la même occasion. Il entendait des cris de terreur, de douleur, de plaintes, mais aussi d'incompréhension. Personne ne savait ce qui se passait et pourtant, c'était comme une sorte de fourmilière. Tout le monde s'activait le plus rapidement qu'il le pouvait. Tout le monde essayait à sa façon de trouver le chemin de la sortie, ou d'aider les personnes à terre ou ayant besoin d'aide.
La jeune Lexanne à ses côtés commençait à tousser à une fréquence de plus en plus inquiétante. Gwen quant à lui, semblait ne pas subir les effets de la fumée. Il avait le regard vide. Il essayait de trouver un moyen de sortir, rapidement, sans se faire barrer la route par ce feu démoniaque. Toujours dans ses songes, il regarda la jeune poufsouffle à ses côtes. Lui fit un sourire, puis la prit par la taille pour l'aider à avancer, malgré la fumée qui se faisait de plus en plus encombrante, de plus en plus étouffante, mais aussi de plus en plus noir, ce qui rendait la progression d'autant plus ardus que la visibilité commençait à diminuer. Mais heureusement pour lui et surtout pour eux, ses sens étaient assez développés pour voir encore convenablement. Leur progression était assez lente. Mais celle des flammes l'étaient aussi. Mais après seulement une quinzaine de minutes dans le château, les deux jaunes et noirs trouvèrent enfin la sortie. Ce fut une véritable libération pour le jeune femme. Elle put enfin trouver de l'air assez frais, assez oxygéné pour lui permettre de retrouver une respiration normale. Sans lui dire un seul mot. Sans même lui jeter un autre regard, le jeune Vampire s'en alla. Il partit rejoindre ses semblables à l'entrée des bois, pour voir la fin, la triste fin, du spectacle. On entendait encore de la-bas, les plaintes, les gémissements, des élèves et adultes resté piégés dans l'école. Certains tentèrent leurs chances en sautant des fenêtres. Mais ceci était peine perdus. On assistait à l'embrasement de la célèbre école de Magie d'Angleterre. Celle fondée par Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. La tension était palpable, car tout le monde savait ce qui était en train de se passer. Tout le monde savait, surtout les immortels, connaissait déjà la suite. Après le scandale du Bal, demain le scandale de l'incendie de Poudlard. Tout le monde savait ce qui allait se passer et pourtant, tout le monde restait là, à regarder partir en fumé, ce qui aura été un lieu de recueillement, un lieu d'écoute et de partage, un second chez vous, un lieu avec des joies et des peines. Et dans le fond, tout le monde savait que personne ne pouvait rien y faire, mais chacun faisait son deuil ici, maintenant.
*****
18h00 plus tard - Galway
Il venait de courir durant toute la nuit. Le ciel commençait à perdre de sa noirceur. Le soleil allait se lever. Il venait de franchir l'entrée de la petite bourgade de son enfance. Galway. Le village était totalement endormi. Il se précipitât alors vers le manoir familiale. En un peu moins d'une minute, il parcourût les huit cent mètres qui le séparaient de l'entrée du village de chez lui. Sans même frapper, il pénétra dans la demeure, froide et glaciale. Il courut vers la salle principale, où il trouverait sans aucun doute ses deux géniteurs en plein petit-déjeuner. Il tenait dans sa main, le journal de ce matin. Il avait pris le temps de s'arrêter quelque seconde au kiosque à journaux pour voler le quotidien. Il poussa la grande porte de bois qui le séparait de ses parents. Et sans même répondre à leurs interrogations sur son arrivée plus qu'inattendus, il balança le journal sous leurs yeux, pour que chacun puisse le lire.
- Citation :
- Drame à Poudlard, l'école est ravagée par les flammes!
C'est en cette veille de Noël que s'est produit l'un des plus grand drame de l'histoire. La célèbre école de sorcellerie Poudlard se transforme petit à petit en tas de cendre grâce à un feu que nul sortilège ne parvint à éteindre. Qui sont les responsables de tout cela? Enquête exclusive!
« C'est durant la nuit que l'incendie s'est déclaré. Difficile de dire où il a pu commencer car il n'est toujours pas éteint. Le feu s'est propagé petit à petit, piégeant énormément d'élèves dans le dortoir. Le Ministère n'a toujours pas communiqué le nombre de victimes, mais il semblerait que plus d'un tiers des élèves n'ait pas réussi à sortir…
Comment tout ceci a pu arriver? Remontons sept ans en arrière, lorsque l'école s'est mise à accepter la venue de vampires et lycans. Ces mêmes créatures qui se trouvaient à l'extérieur de l'établissement lorsque l'incendie s'est déclaré et qui ont fuit les lieux peu avant l'arrivée du Ministère. Comportement de coupable! Le Ministre a fait, ce matin, une déclaration: « Nous n'avons que trop longtemps toléré leurs actes affreux au sein de notre communauté. Combien de sorciers, de sorcières, sont morts vidés de leur sang par ces monstres? Combien devront encore mourir? Aucun! Ils ont cherché une guerre, ils auront une guerre et une bonne fois pour toute ils paieront tout le mal qu'ils ont fais! ». On annonce d'ores et déjà la création de nouveaux bureaux pour parer à de nouvelles attaques et exterminer ces monstres. « Nous formons actuellement des agents spéciaux, des chasseurs, qui se chargeront de traquer chacune de ces créatures et de les tuer. Bien sur nous recherchons les chefs avant toutes choses et ils seront les cibles majeures.
Mais qu'adviendra-t-il des jeunes sorciers? Sans Poudlard, impossible de parfaire leur éducation sans compter que le registre, le Choixpeau et toutes les reliques qu'abritaient l'école ont brûlé. Le Ministère n'a aucune solution pour le moment et conseille d'envoyer les jeunes sorciers dans les écoles moldues pour qu'ils reçoivent tout de même de l'éducation. Quand à ceux étant en dernière année à Poudlard et ayant appartenu au fameux MLP (Mouvement pour la Libération de Poudlard), ils sont conviés à se joindre au Ministère dans cette guerre nouvelle contre les forces obscures.
La peur règne en maîtresse dans chaque foyer, dans chaque famille. Même les moldus sentent venir une aire de changements…Le mal rôde dans l'ombre, prenez garde à ne pas sortir de chez vous une fois la nuit tombée…
« Poudlard a disparu. La guerre est déclarée. Je participerais à cette guerre. »
Sa voix grave avait résonné dans la pièce comme un sermon. Ses deux parents restèrent le regarder avec de grand yeux éberlué parce qu'ils venaient de lire et parce qu'ils venaient d'entendre. Mais aucun des deux ne put répondre. Le jeune homme tourna le dos à ses parents. Partis dans la direction de sa chambre pour prendre des affaires et se préparer à ce qui allait arriver incessamment sous peu. La guerre.
Dernière édition par Gwendolän N. Van Den Berg le Ven 10 Juil - 17:45, édité 1 fois | |
| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
Méphistophélès || Evil & Dangerous
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Ven 10 Juil - 1:01 | |
| Chapitre six « Où comment participer à la guerre, se faire de nouveau ami et surtout ne pas décevoir celle que l'on sert. »
Hoofdstuk zes "waar hoe om te participeren in de oorlog, maken weer vriendelijk en vooral niet aan moeten teleurstellen de één dat wij dienen. " | |
| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Dim 12 Juil - 0:19 | |
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¤ Flash Back ¤
Londres - 02/06/1990
I l avait attendus plusieurs heures devant la sortie du ministère. Il savait qu'il allait sortir par là. Ce n'était plus qu'une simple question de temps. La nuit était tombé depuis maintenant deux bonnes heures. Ce n'était plus qu'une simple question de temps. Il c'était renseigné au préalable, sur cet homme. Landon Julian McGregore, célibataire, 32 ans. Simple sorcier, ancien élève de Serdaigle, ayant en horreurs les immortels, Chef du département de contrôle & régulation des créatures magiques. Siégeant au magenmagot. Famille la plus proche, son oncle habitant en Normandie, France. Quelqu'un d'assez détaché en ce qui concerne sa famille, mais de très sociable, sympathique, drôle, enthousiaste, adorant son boulot et le faisant avec beaucoup de ferveur. Un peu tête en l'air, rêveur, il aime la franchise.
Baguette de 30 cm en bois de noyer avec un crin de licorne. Très semblables à la baguette du jeune vampire. A beaucoup de succès avec les femmes, mais ne préférant pas s'engager pour le moment. Ou alors est-ce plus un souci de coming out ? Aucune idée. Gwen, c'était renseigné énormément sur sa victime. Le seul hic, allait être pour le patronus. Seul cet élément pouvait le tromper. Le patronus de Landon était un lynx. Alors que celui du jeune vampire était un phénix. Bien sûr, il savait que les patronus pouvaient changer de forme selon l'humeur et l'état d'esprit de la personne, mais cela faisait un peu gros. Il avait de la chance, si jamais auparavant au bout de quinze années de carrière au Ministère, personne ne connaissait son patronus.
C ela faisait maintenant plus de neuf heures que le jeune irlandais attendais cacher dans l'ombre que sa proie sorte enfin de son terrier. Il était extrêmement excité par ce qu'il allait faire. Tout d'abord tué cet homme, puis ensuite prendre son identité, pour une durée indéterminée. Il jubilait. Il affichait un sourire béat sur son visage. Mais il ne pouvait s'en empêcher. L'intelligence de cette idée dépassait tout entendement. C'était véritablement parfait.
L a cabine téléphonique s'illuminait. Quelqu'un allait en sortir. Un jeune homme, costard, cravate, aux yeux ternes, remplis de cernes sortis de la boite rouge. C'était son homme. Landon, partis sur sa droite. Il bailla, la gueule grande ouverte, tout en s'étirant. Il grommelait quelques phrases inaudibles pour l'oreille d'un simple humain, mais pas pour notre jeune vampire. « Saleté de traité », « Je les déteste encore plus », « Faire travailler autant », « honte », « Augmentation », « Vacances au soleil ». Ses rêveries profitaient à Gwendolän, qui avançait, tout en maintenant un certaine distance, pas feutré, sans aucun bruit. Il allait devoir attendre une rue ou une ruelle un peu plus sombre, moins fréquentés, pour mener son attaque.
I l ne dut pas attendre longtemps. Cela faisait simplement 20 minutes qu’ils avaient quitté le ministère que notre jeune sorcier tourna sur sa gauche. Ils arrivèrent, malheureusement pour Gwen au Piccadily Circus. Cet endroit était surplombé de personne, de lumières intempestives, mais surtout de membre du ministère, des oubliators, effaçant la mémoire des moldus un peu trop curieux. Cela allait être plus difficile que prévu. Mais pas impossible. Il allait simplement devoir revoir sa stratégie.
L andon avançait d'un pas assuré vers son appartement. Il ne c'était toujours pas rendus compte qu'on le suivait. Il paraissait tellement dans les nuages, dans sa rêverie, que même une alerte à la bombe ne l'aurait pas tiré de ses songes. Pourtant dans le quartier, la fête battait son plein. La musique, les percussions, les danseurs avaient investies les rues. On se serait cru un soir de fête national ou alors, un soir dans une des rues de Rio. La température de l'air, malgré l'heure tardive, était suffisamment importante pour permettre de porter des habits très légers.
L es deux sorciers continuait leur parcours. Landon, commençait à ralentir la cadence. Ils allaient enfin arrivé à l'appartement du jeune chef du département des créatures magiques. Arrivé devant un immeuble de trois étages, le jeune homme s'arrêta. Il regarda en hauteur. Puis inséra une clé dans la porte principale. Cette dernière s'ouvrit alors largement et McGregore pénétra dans l'immeuble. Gwen saisit alors sa chance. Il avançait à une vitesse folle et pourtant personne autour de lui ne remarqua cette bizarrerie. Il réussit à pénétrer lui aussi dans l'appartement avant même que la porte se referme. Toujours aussi discret, il commença à gravir les marches avec une bonne dizaine de mètre de séparation avec Landon Julian. Même si il était persuadé que pour le moment, il ne remarquerait en aucun cas, la présence du vampire, même si il se trouvait à ses côtés. La proie s'arrêta au premier étage, inséra la clé dans la serrure, puis poussa légèrement la porte pour pénétrer dans son appartement. C'est alors à ce moment là que Van Den Berg se manifesta.
« Landon Julian McGregore, chef du département de contrôle & régulation des créatures magiques? C'est bien vous ? »
« Humpf ... oui, c'est bien moi. » déclara t-il d'une voix endormie et pas du tout surpris.
À l'entente de la réponse affirmative, le jeune Vampire n'hésita pas une seule seconde et sauta sur sa proie, qui pour une fois, avait une expression faciale réveillé, mais aussi de surprise et de terreur. La main droite du Vampire arriva très facilement à attraper la gorge pleine de sang du ministre. En moins de deux secondes, il se retrouvait dans les airs, portés à bout de bras, par le jeune homme qui se trouvait en face de lui.
« Ne me ... fait pas de mal. Je ... vais ... peux vous ... donner ce que vous .... voulez »
G wen compressait tellement sa gorge, qu'il n'arrivait plus à déglutir, ni à respirer et encore moins à parler.
« Écoute moi bien. Tiens-tu à la vie ? »
« Oui. Je .... Tiens à la vie. »
L e jeune vampire le lâcha brutalement. L'homme se retrouva alors par terre et apporta de suite sa main à sa gorge. Son regard toujours pointé vers le jeune homme de dix-neuf ans. Tandis que se dernier s'accroupissait pour se mettre à la hauteur de l'homme qui était à terre.
« Tu sais comment on m'appelle ? » commença le jeune vampire avec une voix mélodieuse et calme « Certains m'appelle Méphistophélès, le tueur à Gage, mais je préfère largement le surnom « l'ange de la mort ». je trouve qu'il me va à ravir. Alors que ressens-tu face à la personnification de la mort même ? »
L e jeune Gwen aimait bien jouer avec la nourriture et surtout avec les nerf de cette dernière. C'est pourquoi, pour réellement lui montrer qu'il n'avait aucune chance, qu'il faisait réellement face à la mort, elle même, il commença par faire flamber ses mains. Depuis qu'il avait quitté l'école de magie, il contrôle de mieux en mieux son pouvoir, sa pyrokinésie. Et depuis il avait son pouvoir sous son parfait contrôle. Ses deux mains s'embrasèrent d'un seul coup. La surprise afficher alors sur le visage du dîner du jeune vampire laissa place à de la terreur et de l'effroi. On pouvait lire sur son visage qu'il savait qu'il allait réellement bientôt mourir. C'était assez exaltant et en même temps c'était beaucoup trop facile.
« Qui êtes vous ? Aucune race n'est capable de cela. Pourquoi moi ? »
« N'as-tu pas compris ? Je suis l'ange de la mort. Je suis ton trépas. Je suis ton destin. Je suis tellement de choses à la fois et en même temps, je ne suis rien. Tu te poses la question pourquoi toi ? Et bien tout simplement, parce que je l'ai décidé. Cela aurait très pu tomber sur ton voisin de pallier ou sur un tout autre sorcier de la surface de cette terre, mais c'est tombé sur toi. Dommage. Pas de chance »
L a fatalité était tellement bonne, tellement plaisante, s'en était presque jouissif. Bien sûr, Landon avait été choisis au préalable pour sa place au sein du ministère. Point stratégique pour la lutte contre les simples sorciers.
« Je peux vous donner ce que vous voulez, je peux vous renseigner sur ce que vous voulez, je peux aussi vous donner de l'argent, ce n'est vraiment pas un problème. Je peux vous donner ce que vous voulez, amis s'il vous plaît, ne me tuez pas. »
C 'est à ce moment qu'une idée traversa l'esprit de notre jeune vampire. Un infant ? Pourquoi pas ! Comme ça il pourrait avoir une source certaine d'élément pour fabriquer le polynectar. Il ne serait ainsi jamais à court d'élément appartenant au jeune Landon. Alors que si il le tue maintenant, il serait obliger de garder certaines partie de son corps en congélation pour ne pas qu'elles meurent et pour que la potion marche. Ce qui serait alors assez dangereux de prendre de tel risque dans de pareilles situations. Oui, il allait transformer le jeune Landon en immortel. Il serait alors le fruit de sa propre création et lui permettrait d'avoir une grande porte ouverte sur le ministère.
*Mais si tu le transformes en Vampire, i l aura alors l'apparence d'un véritable vampire. Ce qui reviendrait alors au même. Tu dois trouver un moyen de le garder humain, mais tout en le gardant prisonnier, pour ne pas que ton plan tombe à l'eau ... Gwen trouves une solution ... Tu aurais du réfléchir à ça avant de te lancer à l'attaque ... Stupide, idiot, tu es vraiment d'une débilité surprenante pour un vampire. Et si ... et si ... oui, ça peut marcher ... oui, en effet, ça peux véritablement marcher ... propose lui de devenir immortel. Une fois, qu'il sera devenu ton instrument, alors il ne pourra plus rien te refuser, sous peine de mourir ou alors de souffrir. Ça peut marcher.*
« Et si je te proposait un marcher ? »
S urpris de la tournure que les événements commençait à prendre, le jeune Landon se releva discrètement. Tandis que le vampire face à lui éteignait le feu de ses mains.
« De quel genre ? » faussement intéressé.
« Si au lieu de mourir je te laissait la vie sauve et qu'au contraire, je te donnait l'immortalité. Une chance inespérée. Mais pour cela, tu devras faire tout ce que je te dis, tu devras alors répondre à toute mes attente. »
« De quel genre ? » avec d'énorme yeux étonné
« Un cheveux, un poil de toi, chaque jour. Alors ? »
L andon, paraissait réfléchir à ce que toute cette mascarade cachait. Et pourtant cela se voyait qu'il intéressé par la proposition. Il réfléchissait et le jeune vampire commençait à s'impatienter, mais n'en montra rien. De toute façon cet humain, naïf, allait tomber dans le panneau, c'était obliger.
A près une quinzaine de minutes de tourments interne, le jeune Landon brisa le silence.
« Pourquoi devrais te faire confiance ? Pourquoi ai-je l'impression que tu me ment ? »
« Parce que tu as conscience de ma puissance et que tu sais très bien que de toute façon si tu n'acceptes pas l'immortalité, tu mourras. Alors ? Cela te permet-il de prendre une décision plus rapidement ? »
« Mourir ou vivre pour l'éternité ? Voici mes choix ? Je voix que finalement j'ai une liberté de mouvement assez vaste. »
« En effet. »
« Et que dois-je faire pour accepter la vie éternel ? »
« Me donner ton bras volontairement. Je mordrais alors dedans et alors le pacte sera sceller. Je t'expliquerais la suite plus en détails après. Alors ? »
L e jeune sorcier, ne répondit pas à la dernière question du vampire, mais lui offrit son bras droit volontairement. Sans crier garde, Gwendolän y planta ses dents. Le pacte venait d'être sceller. Landon était l'instrument de Gwen. Juste le temps de l'infiltration du ministère. Ensuite ...
¤ Fin du Flash Back ¤
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| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
Méphistophélès || Evil & Dangerous
▬ AGE : 36
▬ NOMBRE DE MESSAGES : 23
▬ LOCALISATION : On joue à cache cache ?
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Aujourd'hui
- Spoiler:
Sous polynectar ~ Apparence de Landon ~ 
« Hey Landon, comment ça va aujourd'hui. T'as l'air d'avoir la pêche. Le moral ça va mieux ? On se voit tout à l'heure à la réunion ! »
« Oui, oui c'est ça. » déclara-t-il avec une voix terne et monotone
L e jeune homme venait de sortir de l'ascenseur. Il était arrivé à l'étage de son département. Depuis maintenant deux ans, que Gwen avait infiltré le ministère, il connaissait presque tout le monde. Il est vrai que sa mémoire, son sens de l'observation et avec l'aide du véritable Landon, il ne pouvait que bien s'en sortir. Il était vrai, qu'il avait de la chance de maintenant bien s'arranger avec celui qui était devenus son instrument. Au départ leurs relations furent un peu chaotiques. L'interdiction de sortir, le vole d'identité, l'infiltration du ministère, tout cela, il avait eu, vraiment beaucoup de mal à l'accepter. Mais étant obliger de donner son sang, pour survivre et étant contaminé par l'hormone S, le jeune homme commençait à être de plus en plus compréhensif, de plus en plus coopératif. Pourtant, le pouvoir de persuasion du jeune Van Den Berg n'y était pour rien. Il était comme un véritable shooté et avait besoin de sa dose de morsure dans la journée.
A rrivé dans son bureau, le moment de détente, pouvait enfin commencer. C'était là, l'un des seuls endroit le plus sur, pour lui, du ministère. A chaque instant, il risquait sa vie ici, à chaque instant, il risquait de se faire démasquer. La moindre boulette, le moindre faux pas et s'en était fini de lui. C'est pourquoi les seuls moments de répit qu'il pouvait obtenir était ceux qu'il avait en entrant dans le bureau du véritable Landon. Ici, il ne craignait rien, du moins, il était supposé ne rien craindre.
T andis que le jeune espion s'apprêtait à s'asseoir sur son siège, quelqu'un frappa à sa porte.
« Oui entré »
I l s'agissait de sa secrétaire. Madame Pimdou Angela. Très charmante, très gentille, faisant très bien son boulot.
« Excusez moi de vous déranger monsieur. Je vous apporte le dossier sur les centaures des forêts. Vous devez le lire, le signer et le dater, de façon à ce que le projet de loi, puisse passer au conseil des ministres. Sinon, je vous rappelle aussi que vous avez une réunion du Magenmagot à 10H30. Et que vous n'avez aucun rendez-vous cette après-midi, sous votre demande. » finissait-elle avec un large sourire
« Merci beaucoup Angela. »
Personne n'y voyait que du feu et c'était le but.
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| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
Méphistophélès || Evil & Dangerous
▬ AGE : 36
▬ NOMBRE DE MESSAGES : 23
▬ LOCALISATION : On joue à cache cache ?
▬ BAGUETTE MAGIQUE : Noyer et nerf de coeur de dragon, 30 cm, impitoyable
▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : Polynectar ~ Imperium
{ True.Blood
▬ RACE: Vampire
▬ MY SIDE: Vampire démoniaque.
▬ RELATIONSHIPS:
| | | | | Evaly E. Valentine
Between duty and instinct
▬ AGE : 31
▬ NOMBRE DE MESSAGES : 64
▬ LOCALISATION : Va savoir..
▬ BAGUETTE MAGIQUE : Bois de rose, Crin de Licorne
▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : Philtre d'Amour, Goûte du Mort-Vivant / Protego, Sortilège d'amnésie.
{ True.Blood
▬ RACE: Vampire
▬ MY SIDE: Vampire renégat.
▬ RELATIONSHIPS:
| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Dim 12 Juil - 0:53 | |
| Wow.. Des kilomètres de texte  Ta fiche est validée Gwen  Tu peux donc poster dans la partie RP. N'hésite pas à faire une demande de rang ou de logement si tu en a envie. Heureuse de te retrouver ici  | |
| | | | Alwën E. de Longsdale
« Dyscorde » || Pretty Smile for the Devil.
▬ AGE : 30
▬ NOMBRE DE MESSAGES : 365
▬ LOCALISATION : Comme le dirait ma chanson... « Tapie dans l'ombre, j'attends ma nouvelle proie.. »
▬ BAGUETTE MAGIQUE : /
▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : /
{ True.Blood
▬ RACE: Vampire
▬ MY SIDE: Vampire démoniaque.
▬ RELATIONSHIPS:
| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Dim 12 Juil - 0:56 | |
| Hello mister! Tout d'abord permet moi de te souhaiter la bienvenue =) Heureuse de voir un nouvel ancien (moi contradictoire?) de Maeli!
Ce fut une fiche agréable à lire! Tu as bien su tourner ce que tu m'avais demandé, ainsi je pense pouvoir te valider ^^
Qui est la deuxième célébrité que je dois te réserver pour Landon?
Bon jeu à toi! Evaly adorée a oublié la fiche des relations XD Tu peux t'en faire une dans la partie appropriée ^^
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| | | | Gwendolän N. Van Den Berg
Méphistophélès || Evil & Dangerous
▬ AGE : 36
▬ NOMBRE DE MESSAGES : 23
▬ LOCALISATION : On joue à cache cache ?
▬ BAGUETTE MAGIQUE : Noyer et nerf de coeur de dragon, 30 cm, impitoyable
▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : Polynectar ~ Imperium
{ True.Blood
▬ RACE: Vampire
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Dim 12 Juil - 0:59 | |
| Merci beaucoup à vous deux!! Et oui, je suis désolé, cette fiche est un petit peu (beaucoup ?) longue  !! Je ne voulais pas vous rendre la tache plus compliqué, je vous le jure ^^
POur la demande de Rang et la fiche de lien, je vias aller faire ça de suite ^^
En ce qui concerne la seconde célébrité, je comptais prendre Adam Brody. Mais je pense que je vais aller faire un post vacant pour Landon. Enfin, ce n'est qu'une idée, je verrais plus tard, si ça se concrétise, mais pour le moment, je veux bien que tu me réserve Adam Brody | |
| | | | Alwën E. de Longsdale
« Dyscorde » || Pretty Smile for the Devil.
▬ AGE : 30
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▬ LOCALISATION : Comme le dirait ma chanson... « Tapie dans l'ombre, j'attends ma nouvelle proie.. »
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▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : /
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg Dim 12 Juil - 15:20 | |
| Okey, Adam Brody réservé! =)
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| | Sujet: Re: « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg | |
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| | | | | | « Il reste peu de temps. L\'éternité continue de nous menacer. » || Gendolän Nicolas Van Den Berg | |
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Accueil 
et en espérant que cela réponde à vos attentes xD
