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 •• berlioz r. « everything is a chance » ended

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Berlioz R. Walker
Rose •• time is running out.
Berlioz R. Walker


▬ NOMBRE DE MESSAGES : 26
▬ BAGUETTE MAGIQUE : bois de prunellier ; un nerf de ventricule de coeur dragon ; vingt neuf centimétres.
▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : felix felicis - rictusempra.

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MessageSujet: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeJeu 9 Juil - 22:13


b e r l i o z. r o s e. w a l k e r.



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    (c) kairi



      « Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
      Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
      Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
      Valse mélancolique et langoureux vertige !

      Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
      Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ;
      Valse mélancolique et langoureux vertige !
      Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.

      Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige,
      Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
      Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
      Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.

      Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
      Du passé lumineux recueille tout vestige !
      Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
      Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir ! »

          « Harmonie du soir. » ; Baudelaire.



    Spoiler:


    Dernière édition par Berlioz R. Walker le Ven 10 Juil - 17:53, édité 3 fois
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    Berlioz R. Walker
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeJeu 9 Juil - 22:25


      •• Identity Card ;

        Nom(s)&Prénom(s) :
        « Walker. Comme la plupart des descendances je porte le nom de famille de mon père. Oui j’en conviens, Walker pourrait vous faire penser à la vieille série Walker « Texas Ranger », mais la n’est pas la provenance de mon patronyme. Walker a des origines américaines certes, mais plus tiré des anglo-saxon qui ont migrés sur les terres britanniques. Ça ce sont les histoires ardues et descriptives de mon grand père. M’enfin le plus important n’est pas de savoir d’où l’on vient mais de savoir qui on est vraiment à l’intérieur. Venons-en à la question de mes prénoms. A cette époque, enfin à la période de ma naissance, mes parents s’attendaient tout bonnement à accueillir un petit garçon. Faute de mieux le médecin leur présenta des excuses, à croire qu’il avait mal fait son travail. Cependant la joie de mes parents n’en fut que plus grande. Berlioz. Voila le prénom que je porte depuis dix huit ans et même si il est étrange je l’ai adoptée facilement. Il provient du compositeur de musique classique Hector Berlioz, dont ma mère tiré son inspiration musicale pour les comptines qu’elle me fredonnait pour m’endormir. Si c’est un peu terre à terre ? Oui certainement mais bon je ne me plains pas bien au contraire. Pour ce qui est de mon second prénom Rose, il me vient tout simplement d’une idée de mon frère aîné. Donc pas de raison de chercher plus loin. »
        Lieu&Date de Naissance Âge:
        « Les brouillards brumeux, la pluie, la douce musique rock, les idées conservatrices, tout cela vous donne un petit indice de la ville de ma naissance. J’ai vu le jour un quatorze décembre dans la ville pluvieuse de Londres en Grande Bretagne. Dix huit ans à parcourir les méandres du monde, que demander de plus ? »
        Lieu de résidence actuel:
        « Toujours et encore la capitale de la Grande Bretagne : Londres. Oui cette ville si pluvieuse, conservatrice et dynamique, abrite parmi ses nombreuses habitations ancestrales, la demeure des Walker. Vaste logement abordant un nombre de pièces impossible, je me demande pourquoi autant de place pour si peu de personne. Bien que je partage mon temps entre le domicile de la famille paternel et celui de mon frangin, j’aime beaucoup retrouver la maison de mon enfance, à Loutry St Chaspoule où demeurent mes grands parents maternels. »
        Race:
        []Vampire [] Loup-Garou [X] Sorcier [] Changeur
        Métier et/ou rang dans la société:
        « Bien que la famille paternelle soit effectivement connue dans le monde des sorciers, cela ne fait pas de moi une duchesse ou une baronne. Ces titres doivent remontés bien trop loin désormais. Et puis de nos jours je ne vois pas tellement où est l’intérêt. Enfin bref. Mon occupation professionnelle je la passe à la bibliothèque nationale de Londres où j’ai postulée pour la place d’apprenti bibliothécaire. Bien sur, ce métier me passionne sinon je n’y serais pas, seulement ma vocation je la voyais dans le monde du Quidditch - comme à l’effigie de ma mère qui était membre de l’équipe nationale de son pays. Ne voulant pas de l’aide de l’influence de l’ancien de la famille, j’ai préférée refuser l’entretien. C’est un choix que j’assume pleinement car en dépit de mon obstination et de ma fierté, il était hors de question que je dépende de cette famille aux idées bien rangées et dépassées. »


      •• Soul's Revelation ;

        Patronus:
        La Hulotte. Comme tout le monde, enfin plus particulièrement ceux qui connaisse la jeune Walker, le calme est une des qualités dont elle fait preuve le plus clair de son temps. A son effigie, la hulotte est un rapace des plus complexes mais aussi des plus calmes dont la sagesse peut parfois mettre en déroute. Signe de sagesse et d'optimisme chez les amérindiens, la hulotte nous montre à quels point nos faiblesses peuvent devenir des points forts. Modèle de détachement et de changement radical, ce volatile au plumage blanc d'ordre général, dépeint un aspect quelques sauvage et attachant, qui tout comme Berlioz peut se montrer très difficile à apprivoiser ; d'où l'origine de son dit patronus.
        Sortilège fétiche:
        « Je suis peut être pas original mais j’ai une préférence pour le sortilège rictusempra et reducto. Des sorts basiques certes, mais fort utile lors d’un combat et qui m’ont servit plus d’une fois. Pour le plaisir je dois avouer que le sort accio est indispensable lorsque vous êtes dans l’incapacité d’attraper un objet ou bien lorsque vous avez oublié quelques choses. »
        Potion ou drogue favorite:
        « felix félicis, rien de tel pour provoquer une soudaine chance, mais à dose rare bien évidement. »
        Animal préféré:
        « Pas de surprise en citant l’animal ou si je puis dire le volatile qui va suivre, à savoir le faucon. Oui je sais ce n’est pas très explicite en vue de mon patronus, mais si j’avais eut la possibilité d’être un rapace j’aurais arrêtée mon choix sur celui là. A la fois sauvage et indépendant, il peut quand il le souhaite adhérer à d’autres paysages. C’est un peu imaginatif et enfantin, mais l’espoir du rêve fait vivre quelque part. »
        Couleur favorite:
        « Le bleu foncé, une fois de plus c’est une couleur dites banale, mais elle est emplie d’un certain mystère et d’une réflexion me caractérisant assez bien. »


    Dernière édition par Berlioz R. Walker le Ven 10 Juil - 0:31, édité 4 fois
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    Berlioz R. Walker
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeJeu 9 Juil - 22:25


      •• Once Upon a Time ;


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    (c) LJ
    •• Prélude.


      Toutes les nuits elle entend sa voix. Toutes ces nuits où le plafond étoilé parsemé de constellations répond présent à ses souvenirs. Tous ses souvenirs se retrouvent en ces soirées de désespoir chimérique, de calme sans douleur et de tristesse passagère. Prostré à la fenêtre du salon, elle tend à observer la lune bien trop éclairante pour son regard d’un brun d‘écorce. Et pourtant, elle se bat contre cela pour répondre à un sommeil de repos véritable. Ce dernier résultat d’un accident volontaire n’avait pas fait taire sa famille, bien au contraire. La muse de son enfance n’était plus et la chanteuse de son savoir l’avait laissée pour compte, seul face à une vie sans scrupule. L’eau est un long chemin où son liquide - semblable à la vie – coule, coule et s’écoule encore. Fait de force et de courage téméraire, la douceur Walker avancera mais n’oubliera guerre le salut de son inspiration disparue.


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    (c) LJ

      •• Le pacte de l’innocence ; Un lien futile mais subtil.
        « Si l'on veut s'approcher des enfants, il faut parfois devenir enfant soi-même. ».
        Nemcova Bozena.


      Logement de la famille Walker.
      5 juillet - Berlioz à alors six ans - Londres, Grande Bretagne.


      La réalité ne faisait guerre avancé l’imagination d’un enfant. Frein de rêves et d’illusions, elle gardait en elle une part de souffrance et d’aliénation digne des plus grandes pièces de théâtres des temps anciens telle que Phèdre ou encore Œdipe. Toutes ses histoires éponymes couchaient sur papier par de grands tragédiens, ne révélait ni plus moins les plus vastes et courtes anecdotes d’une simple vie en des temps repliés et lointains. Un bruit saccadé, des pas rapides se faisait entendre dans le corridor sobre qui menait à la pièce principale. La résonance de cette démarche représentait sans aucun doute une petite fillette, abordant une chevelure ondulée de couleur brune et d’un regard noisette dont peu d’individus auraient pu posséder. L’enfant à l’allure svelte et sage, ouvrit avec un fracas assourdissant la double porte qui donnait sur le salon aux motifs d’une décoration typiquement grecque, où la comparaison d’un palais de l’antiquité n’avait aucunement sa place. Teintes vives et claires, meubles doux et sculptés en bois de pin mais aussi de hêtre, la salle était très clairement dominée par un imposant instrument à cordes frappés. Le piano qui trônait prés de la fenêtre, était un symbole d’héritage de la famille maternelle depuis des générations qui sans aucunes surprises laissait des prédispositions à ce que la descendance en ait un jour l’usage à son tour. Soudain, tendrement et affectueusement, une voix légère et cristalline émana de la pièce déserte.

      LA MUSE – « Allons Berlioz ne soit pas si pressée. ».

      Son rire de cristal embarqua sa fille dans un monde posé ou là quiétude était le maître mot. Assise sur le banc qui siégé juste devant le piano d’ébène, la mère fit signe a sa fille de s’avancer vers elle, afin qu’elle puisse la voir. Sourire abordant ses lèvres rosées, Berlioz n’eut pas besoin de se faire prier pour rejoindre les tendres bras sécurisant de la figure maternelle.

      LA MUSE – « J’ai appris que tu as été une jeune fille bien courageuse ce matin. ».
      LA DOUCEUR – « Je ne vois pas en quoi défendre les autres peut être courageux ?! ».
      LA MUSE – « Ton comportement et ton attitude trouve cela naturel n’est ce pas ? ».
      LA DOUCEUR – « Oui évidement, je ne pouvais pas laisser Louis se faire insulter de sang de bourbe … Les gens ne sont pas vraiment d’une gentillesse naissante. ».
      LA MUSE – « Exactement, et c’est pourquoi les mœurs changent Berlioz, grâce à quelques personnes qui agissent ainsi. ».

      Tête faisant un léger mouvement circulaire, la jeune Walker toisait d’un regard emplis de sagesse enfantine l’arbre fleurissant qui au gré de la brise du vent laissait s’envoler ses fines pétales roses et blanches. L’été venait de commencer et les cruautés apparaissaient de plus en plus dans le monde des sorciers telle une chaîne de mots sans fin et lugubre. Manifestant une envie soudaine de jouer du solennel instrument de ses ancêtres, la jeune mystérieuse s’installa aux cotés de la sorcière membre de l’équipe de Quidditch nationale de son pays et dont le devoir allez bientôt la rattraper. Sarah – ainsi se nommait elle – expliqua de manière simple et profonde la façon dont chaque touches d’ivoire possédait son propre son et que chaque gamme devait être parfaitement su pour déchiffrer les codes de partitions anciennement rédigés comme innovatrice. Après quelques heures d’exercices acharnés mais enrichissants, la fière sorcière se mit à jouer en concert avec son professeur un morceau de Mozart. Une complicité épatante pour un novice qui ne finirait jamais d’étonner ses proches. La musique produite était lente et rythmée, douce et apaisante pour des âmes fatiguées et lassées d’un quotidien inchangé. Elle reflétait le parfait secret d’un pacte entre mère et fille, en d’autres termes, un lien toujours existant et invisible a celui qui voulait croire en l’espoir d’un renouveau. Un nouveau souffle de vie, une autre vie au delà d’un monde rêvé.

      La dernière note achevée, le prodige se tourna vers l’optimiste mère nourricière de son nouveau savoir en peignant sur ses lèvres de gamine, un sourire ensoleillé et sincère. Le lui rendant a son tour, elle entendit la voix plus affirmé de son aîné, Dwight.

      DWIGHT – « Berlioz, tu viens jouer une partie de quidditch ? »

      Avait-il crié du dehors par la fenêtre ouverte. Ne pouvant guerre qu’optait pour une réponse favorable, la cadette de la famille se leva en courant vers la porte de sortie et glissa dans une voix murmuré.

      LA DOUCEUR - « Merci. ».


    Dernière édition par Berlioz R. Walker le Ven 10 Juil - 16:50, édité 9 fois
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeJeu 9 Juil - 22:25


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    (c) LJ.


      •• Quand la brise emporte l’ensemble du puzzle ; Le hasard est le fin mot de l’histoire.
        « Le hasard est le plus grand romancier du monde ; pour être fécond, il n'y a qu'à l'étudier. ».
        Balzac.

      Tout semblait calme en cette nuit de décembre, un jour que tout enfants du monde attend avec impatience, ce jour où l’imagination d’un être innocent ne demande qu’a déborder de rêves et généralement selon les croyances, le fameux jour où le fils prodige devait soit disant avoir vu le jour, un vingt cinq décembre. Cette date, une certaine petite gamine de neuf ans l’attendait avec impatience. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle n’avait pas eut le loisir de voir ses propres parents de toute l’année, puisque leurs travail respectifs les afférés tous deux ailleurs et que par devoir ils ne pouvaient se désister. La fillette venait de fixer la dernière boule de noël sur le grand et sublime sapin verdoyant qui trônait au milieu du salon type européen de la demeure familiale des Hopkins. Fière de son travail entreprit, la mignonne se tourna ensuite vers son grand père maternel, Archibald qui affichait un sourire fier et aimant. Ce dernier ne se posait pas plus de question face à ce que sa petite fille allait faire par la suite. En effet la brune aux reflets de bronze alla chercher un étui fin orné d’un cuir noir et serré. Assise sur le sol, la gamine l’ouvrit pour en sortir un instrument, celui qui la rapprochait le plus prés possible de sa tendre mère, Sarah. C’est elle qui l’avait poussée à croire au bien fait de la l’art musical et de croire qu’en travaillant dur tout irait bien mieux. Le jeune prodige posa doucement l’engin à corde sur sa frêle épaule d’innocence. Saisissant l’archet Berlioz fredonna quelques sons pour ensuite se mettre à jouer un morceau de Bach, un compositeur dont la figure maternelle murmurait les louanges à son sommeil lorsqu’elle n’était encore qu’un nourrisson. L’ancien enseignant ferma les yeux se laissant guider par la musique mélodieuse que produisait l’instrument à cordes ; lorsque quelques instants plus tard l’air de musicalité se stoppa nette. Des pas dans l’entrée se firent entendre. Des pas lourds, qui couinaient sûrement dû a la neige qui avait fondue, se fit entendre à l’entrée de la maison. Le visage de l’inconnu s’affichait enfin dans la lueur éclairante des bougies et des lumières de la demeure. Là, devant eux se dressait James Walker, le père des enfants. La mine peu amène, la douce distinguait parfaitement le visage mélancolique et malheureux de son père. La jeune adolescente n’étant pas dupe rompit le silence pesant qui régnait dans la pièce principale.

      LA DOUCEUR - « Papa pourquoi affiche tu une mine triste ? Alors que ... »

      Le père ferma les yeux quelques instants avant de se rapprocher de son beau père qui compris tout de suite ce que son gendre allez s’apprêter à dire à la jeune enfant de neuf ans. Cette dernière tenait toujours de ses minces doigts et bras, l’archet et le violon auxquels elle tenait temps. Le paternel avait entre ses mains, les vestiges et les affaires de ce qui restait de son épouse, Sarah. La brune ne vacillait aucunement son regard de petite gamine perdue et emplis de curiosité. Certains disent que la curiosité est un vilain défaut et bien à cette époque là, l’audacieuse et téméraire intellectuelle aurait préférée qu’on ne lui avoue jamais la disparition de sa mère et ce dans d’étranges conditions.

      JAMES – « Ecoute ma grande. Quelques fois il se passe des évènements et des choses dont nous ne maîtrisons pas du tout la candeur comme le danger. Et parfois les êtres humains en souffrent énormément et ne savent plus où est le chemin. Ta maman ne sera plus de ce monde mais de celui du ciel. ».

      Berlioz n’avait rétorquée mot, et sa petite frimousse d’ange blanc et ornée d’un sourire angélique avait totalement disparus au profit d’un visage fermé où seul les larmes versées auraient pus être la clef d’ouverture. Hors il n’y aurait plus jamais d’ouverture vers un nouveau sourire sincère, tant qu’elle ne voudrait pas le montrer. Laissant tomber l’archet puis l’instrument de bois vernis, la sorcière en herbe marcha telle un « zombie », dans la gigantesque habitation où elle avait passé le plus clair de son enfance. Arrivait dans la grande bibliothèque de son aîné, le battant s’installa devant le magnifique piano à queue aux touches couleurs d’ivoires. Frôlant le clavier froid, ses doigts fins se mirent à jouer un air de Mozart, celui qui autrefois était celui que sa mère avait tenté avec succès de lui apprendre ainsi que celui qu’elle lui fredonnait a l’oreille pour trouver le sommeil. Un sommeil qui avait emportait l’effigie maternelle, dans un paradis où sa plume avait été plus légère que tout le reste face au jugement dernier. A pas mesurés et mélancolique, Dwight franchit le seuil de la bibliothèque et vint s’asseoir aux cotés de la gamine qui ne souriait plus. Les mains fines de son frère aîné allaient parfaitement en accord avec le piano noir qui trônait au sein de la pièce remplis de livres en tous genres. Les quatre menottes de la fraternité, jouaient d’un parfait accord de notes dont la mélodie raisonnait dans l’enceinte du domaine où quelques années plutôt, le doux rire et l’innocence même psalmodiait elle aussi cette partition de grand musicien. Sarah, serait désormais en haut à veiller sur ses descendants.
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    Berlioz R. Walker
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    Berlioz R. Walker


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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 13:16


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    (c) LJ.


      •• Le passé est révolu ; Sagesse & courage t'accompagnes.
        « On aime à deviner les autres, mais l'on aime pas à être deviné. ».
        La Rochefoucauld.

      25 novembre - Berlioz est âgée de seize années.
      Ecole moldue St Anne - Londres, Grande Bretagne.

      Le regard vrillant sur chaque mouvement des branches d’arbres qui se balançaient de gauche vers la droite puis de l’ouest vers l’est, la jeune femme aux reflets de cuivre se remémorait toutes ses petites aventures de ces derniers mois, depuis son entrée au collège des moldus. Les temps avaient changés, le temps en lui-même ne cessait de s’écouler et de s’écouler encore telle la magnificence d’une cascade digne d’un des plus beaux lagons du monde. Indescriptible et louable, La Walker tenait en main - encore et toujours - ce livre de Platon qu’elle ne cessait de lire et relire. A force du temps, ce vieux manuscrit - hérité de son arrière grand père - aux louanges ancestrales, dépeignait un manuel dont les pages avaient jaunis avec le temps. Cette œuvre couchée sur papier avait l’illustre manière de démontrer que la mort et la vie était instinctivement liées d’une certaine manière. Ainsi son auteur émettait l’idée résolu que lorsqu’un enfant venait au monde, cela était une souffrance et que tout à son contraire sa fin sans fin sans précédant était une simple délivrance. Où pouvait bien le mener cette thèse dépourvus de sens, surtout pour un simple individu n’étant guerre intéressé ? Le questionnement n’avait pas lieu lorsqu’on parlait de réflexion réfléchit à Berlioz Walker. Non, la réponse a cette question, l’amenait à penser a cette relation anonyme et sans visage, car si elle retranscrivait sur un bout de parchemin des phrases emplies de métaphores sincères et pensives, elle n’aimait aucunement se dévoiler à autrui.

      Et pourtant. La douce entente entretenue par le biais de simples missives laissait déjà sous entendre et apparaitre qu’elle se délivrait du voile de son mystère, mais elle n’en était pas vraiment encore le cas. Chaque renseignements qu’elle échangeait avec son correspondant - avec le temps elle avait vite compris qu’il était de nature masculine - lui apportait un peu plus de connaissance sur son identité. Il était son énigme, pas vraiment, mais c’était une manière de parler pour une taciturne bien trop imaginative et écrivain en herbe.

      Assise sur le rebord d’une fenêtre de la salle de musique, la vaillante érudit se redressait tout en observant la couleur nacre et gris allante d’un ciel sans étoiles, ornée de nuages à la couche épaisse. La pluie ne ferait pas attendre sa présence, et rien que pour cela l’ange audacieuse rebroussa son chemin, vers l’intérieur de la pièce, là ou quelques années plus tôt sa défunte mère, venait elle aussi suivre le cursus scolaire. Mains dans les poches, l’ermite solennel vint parcourir les marches vers la sortie de la salle scolaire. A peine un pied vers la porte en pin, qu’une bande de jeunes hommes issue d‘une année de plus qu‘elles, s’esclaffèrent a lui montrer leurs plus beaux regards. Loin de s’attarder sur leurs attentions ennuyeuses et dont elle ne remarquer strictement rien, Berlioz se laissa guider par son envie soudaine de répondre à son « inconnu », son secret poétique qui tout comme elle se révélait être un sorcier.

      Couloirs désert, silence platonique, bruit de pages qui se froissent sur la pliure d’un bouquin, chuchotis prémédités, rencontre silencieuse ; la bibliothèque du bâtiment scolaire était devenue leur recueil d’échanges. Certaine de ne pas se faire remarquer, la jeune mystérieuse poussa doucement les portes du dédale littéraire, endroit de sa solitude première. La Walker parcourus chaque rangée de la vaste salle littéraire où régnait un climat d’innocence et de travail parfait tel un violon s’accordant avec les mouvements vifs de son archet. La brunette s’arrêta droit au fin fond de la pièce, prenant place en s’appuyant d’un léger appui contre le mur de brique ancien, couleur de nacre. Une plume fine à la main, Berlioz se mit alors à sa réponse - dont vous pourriez lire quelques passages -.

        « Le temps n’est guère encore à ce que je ne cesse de t’écrire. La force dont je fais usage pour te répondre n’est pas une corvée mais un plaisir dont je te réserve les attraits. La confidence de nos écrits est un « phénomène » qui me surprend, moi l’ermite solitaire et obstinée à mes heures. A de nombreuses reprises l’envie de comprendre l’humain m’est passée par l’esprit, tel une tempête qui est juste de passage dans une ville complètement déserte. La question de l’humanité chez l’homme n’est pas non plus ce qui revient le plus dans son comportement. Non bien au contraire, l’homme – au sens d’une généralité banalisée s’entend – ne se représentera que seul dans une contrée. L’assouvissement de sa victoire propre et de ses intérêts personnels prendra toujours une énorme ampleur à ses yeux. Il est vrai que tout humain, normalement constitué ne prétendront le contraire, ou bien il mentent ? L’action véridique ne sera que le revers de sa médaille. L’humain ne prend conscience de ce qui importait le plus dans sa vie, le jour où il s’avers le perdre.

        Je ne parles que très peu de moi, parce que j’estime que ce n’est encore important, et pourtant il suffirait d’un incident, d’une trahison pour que tous mes espoirs et mes objectifs basculent a jamais. La vie est courte et frappe a n’importe quel instant. Tu pourrais me prendre pour une petite sotte, mais le fait que tu ne connaisse pas mon identité me rassure, du moins pour le moment. Je me décris au travers de ma philosophie mal assurée et pourtant tu arrive a me cerner. A l’instant où je t’écris une pensée parcours mon esprit fanfaron et problématique: as-tu une idée de qui je suis réellement ? Enfin, laissons le temps jouait de son hasard qui est le plus grand romancier du monde selon ce très cher Balzac.

        J’espère encore que tu sauras, une fois de plus déchiffrer mes longues et impossible énigmes parfois complètement dérisoires. Les lignes de ta plume, ne doivent aucunement avoir raison de tes soudaines interrogations. Sur ceux que l’histoire des ancêtres te donne le souvenir du pouvoir de la naissance de la magie.
        »

        H.P


    Dernière édition par Berlioz R. Walker le Ven 10 Juil - 13:22, édité 1 fois
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 13:22


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    (c) LJ.


      •• Le mystère est un phénomène étrange ; Seul l’amour peut en éclairer le contenu.
        « L'amour est un égoïsme à deux. ».
        Mme de Staël.

      De nos jours.
      Rue de Londres, Grande Bretagne
      .


      Il y avait de nombreuses différences de nos jours, des divergences qui faisaient que la guerre venait de reprendre du service. Pourtant au milieu de ce combat perpétuellement redondant, se tissait des liens étranges et surprenants. Si les sorciers étaient d’un coté et que les lycans et les vampires étaient tous deux de l’autre, les alliances restaient tout de même peu sur. Les temps de guerre engendraient les pleurs, les drames, les inquiétudes, les pertes, l’horreur et tout cela pour une histoire de vengeance qui ne cessait de croitre d’années en années. Mais au milieu de toute cette agitation soudaine, deux personnes avaient vus naitre ensemble, un espoir impossible qui était fatidique pour leurs sécurités et leurs espèces respectives. Et pourtant l’attirance de l’un ne pouvait empêcher l’amour que lui portait l’autre. Ils étaient si différents et pourtant si complémentaires que rien ne semblait changer et perturber leur histoire.

      La nuit venait de tomber sur les rues désertes de Londres. Ces dernières abritaient encore quelques passants de dernières minutes sortant du travail ou alors de quelques couples qui sortaient boire un verre. Mais pour une certaine demoiselle à la chevelure de cuivre, la raison de sa présence en cette heure si tardive était la cause pure et simple de son travail. En tant qu’apprenti bibliothécaire, la jeune Walker faisait de temps à autres la fermeture de la bibliothèque municipale. Après avoir fermée la porte principale derrière elle à clef, la brune leva la tête en direction du ciel. Un ciel montrant un bleu épais et orageux, presque triste et révélateur de la situation du monde. Baissant légèrement son visage de douceur, Berlioz se surpris à pensée encore à celui qui la rendait encore plus taciturne qu’à l’ordinaire. Il devait être encore en pleine chasse ou ne serais ce encore en vadrouille dans ses pensées obscures qui ne cessaient de le tourmenter encore et encore. Finalement, ce fut sous un plafond parsemé d’étoiles et de gouttelettes de pluie froide que Berlioz engagea sa marche pour retrouver le chemin de son logement. Elle aurait très bien pus transplaner ou bien utiliser le conduit de la cheminée en une petite pincée de poudre de cheminette, mais elle avait décidée de rentrer a pied, histoire de réfléchir à tout se qui se dérouler ces derniers temps. Quand bien même si sa famille travaillait pour le ministère, il était hors de question que la mystérieuse prenne position et participe à ce combat qu’elle n’approuvait pas vraiment. Sa vie professionnelle lui permettait ainsi d’échapper à la vie que d’autres menait, mais pour combien de temps encore. La pluie perlait doucement sur ses boucles soyeuses tandis que ses pas devenaient de plus en plus rythmés. Elle venait de presser le pas pour ne pas s’attardait davantage et malgré cela, un bruit assourdissant se fit entendre juste derrière. Ses doigts vinrent chercher à tâtons sa baguette magique. Soupirant doucement en accord avec les battements haletant de son cœur Berlioz se retourna baguette pointait sous le menton de son espion. Le visage déterminée de la jeune sorcière s’adoucit a la vue de son suivant, et un rire peu amène retentit de la part de celui-ci.

      LE MYSTERIEUX- « Serait-on d’humeur à se battre aujourd’hui ? »
      LA DOUCEUR - « Avec les temps dans lesquels nous vivons, il me semble que je n’ai guère le choix. »
      LE MYSTERIEUX - « On a toujours le choix. J’avais celui de te laisser envie ou bien tout au contraire de prendre ta vie et je l’ai fait bien que cela ne demande plus autant d’efforts qu’auparavant. »

      Sa voix de marbre et mélodieuse, ravivaient des souvenirs douloureux à la pauvre Walker qui ne laissait rien paraitre. Présentement, un sentiment de sécurité et de jovialité parcourait son corps frêle et son esprit de réflexion la laissait enfin respirer. L’inconnu n’en était pas vraiment un. Non elle connaissait cet être que trop bien, même plus qu’elle ne l’aurait voulut, mais c’était lui qui avait tenté de l’espionner sans son accord, tout cela par une curiosité trop expressive. S’approchant d’elle doucement, le jeune homme vint quérir la main de celle qui l’envoutait. Entrecroisant leurs mains, la distinction entre ses deux êtres se voulait radicale. Et pour cela il suffisait de les regarder pour les différencier. Lui, l’homme survenu de nulle part était un sang froid en d’autres termes un vampire. Un renégat qui grâce a son créateur avait renoncé à boire du sang humain, sous prétexte qu’il ne voulait pas être un tueur. Quelques parts, cela avait très vite soulagée la Walker qui restait tout de même prudente.

      LA DOUCEUR - « Je vois. »
      LE MYSTERIEUX - « Tu vois beaucoup de choses mais tu ne me dis jamais rien Berlioz … »
      LA DOUCEUR - « … »
      LE MYSTERIEUX - « Je sais que la patience est une vertu, mais ne crois tu pas que le silence est pire lorsque je n’entends pas ta voix ? ».

      L’ange audacieuse relava lentement son visage vers l’être mythique qui lui faisait face. Un moment de silence s’installa doucement pendant que l’intensité de la pluie gagnait de plus en plus de terrain. Le regard de l’adonis de vacillait aucunement et c’est avec une lenteur exagérée que le vampire vint chercher les lèvres de l’humaine.
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 16:48


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    (c) LJ.

    •• Epilogue.
    L’instant présent ne vaut aucunement tout l’or du monde ; Artiste téméraire et fataliste.
    « Le destin pose deux doigts sur les yeux de l'homme, deux dans ses oreilles, et le cinquième sur ses lèvres en lui disant : «Tais-toi.» ».


    FLASH BACK.

      Les mains fines et sveltes apposées sur le clavier d’ivoire, les doigts dansant tels une chorégraphie classique, le regard fixé sur les touches noirs de jais et blanche de craie, la jeune Walker ne laissait rien la distraire, si ce n’est le bruit de son hasard qui portait le nom de mélodie musicale. La musique transportait chaque recoins de la salle, accompagnant les doux chandeliers de cristaux qui raisonnaient tels un sourire cristallins digne d’un enfant. Autour de Berlioz, plus rien ne bougeait comme si le don qui voyageait à son coté depuis l’âge de six ans, lui permettait de structurer et de figer le temps à sa propre guise. Taciturne et mystérieuse, l’ange doucereuse, ne se laissait aucunement berner par le sourire hébété des jeunes garçons accoudaient aux remparts des fenêtres donnant sur l’établissement scolaire voisin. La douce, ce virtuose en herbe n’ayant que faire des remarques dont on peut l’assimiler et l’accabler, et dotée de surcroit d’un mutisme incroyable, se décidait enfin à relever le visage droit devant elle. Ses yeux emplis d’une impassibilité totale, cette expression dépourvus d’émotions - aussi déconcertante qu’indéchiffrable -, cette demi-mesure de fierté allait tout à fait de concert avec les attraits majeurs de sa personnalité hors du commun. Les regards et attentions masculines avait beau la sonder comme la toiser, le néant aurait était une magnifique métaphore juste à coté. La jeune ermite au visage angélique, se leva à son tour en saisissant au passage le livre d’un dénommée Platon. Le philosophe de l’épopée grecque l’accompagnant de sa sagesse et de ses pas.

    FIN FLASH BACK.
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 17:53


      Je pense avoir terminée ma fiche ^^
      C'est pas terrible donc si il manque des choses je rééditerai sans problème (:
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    Evaly E. Valentine
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    ▬ BAGUETTE MAGIQUE : Bois de rose, Crin de Licorne
    ▬ POTION - SORTILEGE FETICHE : Philtre d'Amour, Goûte du Mort-Vivant / Protego, Sortilège d'amnésie.

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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 18:06

    Alors tout d'abord bienvenue, Berlioz.
    C'est une magnifique fiche que voilà, te lire fut tout simplement un plaisir I love you
    Je peux donc te valider sans problème Smile

    N'hésite pas à faire une demande de rang et/ou de logement si cela te tente.

    Bon jeux parmi nous,
    & merci de ton inscription.
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 18:22


      Merci beaucoup Evaly (l)
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    ▬ BAGUETTE MAGIQUE : /
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 18:31

      Bienvenue parmi nous =)
      Je ne peux rien ajouter aux dires d'Evaly, ce fut un bonheur I love you

      Bon jeu!
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 18:33


      Merci beaucoup Alwen I love you

      J'ai une petite question : pour créer un post vacant on prend un modèle de fiche ou peu importe ?
      xD
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    Alwën E. de Longsdale
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 18:37

      Euuuuuuuuuuuh...
      Tu attends dix minutes et Evaly te diras tout Razz
      ( Non on a pas oublié la fiche pour les PVs des membres...*Va se cacher* )
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 18:45


      mdrr (:
      thanks (:
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    Evaly E. Valentine
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitimeVen 10 Juil - 18:54

    Voilà Berlioz, tu peux aller faire ta proposition de personnage dans le livre des légendes Smile
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    MessageSujet: Re: •• berlioz r. « everything is a chance » ended   •• berlioz r. « everything is a chance » ended I_icon_minitime

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