M A L F O Y •• don't be so arrogant, bitch;

question simpliste. mon nom est tout ce qu'il y a de plus simple, un prénom, et un nom de famille prestigieux. ma famille est comme vous devez vous en douter, tout ce qu'il y a de plus respectable sur le plan visuel, mais tout ce qu'il y a de plus louche sur le plan privé. luxeria may malfoy. je ne suis pas friand des surnoms en tous genres, ceux que vous donnent vos soi-disant amis en se croyant amusants de découper en rondelles votre nom complémentaire. seulement, si ça vous chante, appelez moi lux. ou ne m'appelez pas du tout. où suis-je née ? d'où viens-je ? et enfin, qui suis-je pour prétendre n'être qu'une vulgaire ombre. je suis anglaise et vis-je le jour dans un hôpital londonien, comme la plupart des gens que je côtoie. à ce jour, je pense ne pas me tromper en disant avoir vingt-huit ans, et même un an de plus dans deux semaines. j'ai passé l'age d'être considérée comme une gamine effrontée, assez pour me qualifier à mon tour de femme de force. avec du feu dans ses veines. bien que j'aime rivaliser avec le sexe opposé, je peux être moi même assez sexiste, à l'inverse de la gent masculine pour dire qu'une femme est la personne parfaite pour présider quoi que ce soit. une femme est manipulatrice, sait jouer de ses atouts et selon son tempérament peut tout faire pour parvenir à ses fins, quitte à être d'une mauvaise foi sans bornes. je me qualifie donc de lionne. reine de la jungle, hm? j'aime dominer les gens à ma manière, je suis assez libre et rebelle pour me liguer contre une politique qui ne me convient pas. la société s'adapte et se moule à mes envies, et non l'inverse. arrogante ? évidemment, mais tâchez de ne pas de le répéter, je pourrais croire que vous tentez de me séduire. les erreurs sont humaines, j'en fais assez souvent, tout ce qui ne faisait pas partie du plan, ce qui confirme votre question, je suis humaine. pour finir, je vous présenterais bien mon statut dans la société, qui me rend assez modeste, je suis plutôt aisée de part ce que je gagne. bien que j'ai touché le jackpot à la mort de mon père. quelle chance. thanks daddy. j'aime organiser des évènements civils, avoir ma touche d'importance qui donnera le style à chaque chose, diriger une équipe, m'occuper & contrôler le travail des autres. je suis (je me suis pas encore décidée XD). impressionné, huh. passons, je suis une sorcière, et qu'avoir des parents mangemorts, c'est pas facile tous les jours. j'ai pourtant l'honneur de pouvoir dire que mon patronus me ressemble assez, le chat. pour sa rapidité, son sens félin, et sa beauté. j'aime question sortilège, l'endoloris. potion, celle de charme. je ne pourrais l'expliquer sans rentrer dans ma vie, c'est un choix personnel. je ne suis adepte d'aucune drogue, ni dépendante de quoi que ce soit, outre de mon propre confort. mon animal préféré est le chat, symbolique de mon patronus. et ma couleur favorite le rouge. en thème musical, ne connaissant que de très loin les succès moldus, je dirais I think God can Explain, de Splender.

M A L F O Y •• don't be so arrogant, bitch; Bigsunglasses

M A L F O Y •• don't be so arrogant, bitch; Birdj

tout le monde me connait, si si, c'est moi, becki. alias maddie pour les intimes (a) ; j'ai seize bougies, bientôt dix-sept et cela fait bien plus de trois ans que je fréquente les forums. je suis débarquée ici avec un super staff du tonnerre qui en jette la magie à voldy. clin d'œil pour ma mely jolie. qui va dire, 'ah bah elle à fait vite' xD allez. je vous n'aimes mes collègues d'amouuur (L) ; le forum est top, dans toute sa splendeur, à part que je vais révéler un secret du fbi en personne. le design va changer d'ici ce week end, planquez vous ! *sbaf* j'ai choisi comme célébrité sur mon avatar la sublimissime scarlett johansson, qui d'ailleurs est une de mes actrices préférées, j'ai adoré sa prestation dans le prestige. film coup de cœur. oui bon on s'en fou hein x) sinon le code est validé. par qui ? par moi.

▬ first day •• l. & j. walking on the street ;

– hey sœurette, tu saurais pas où est passé ton peigne, enfin tu peut me le passer ?
– sur la table du salon.
– tu n'as pas changé quelque chose ? Il s'approcha et la détailla de son regard abyssal, ses cheveux d'ordinaire bruns avaient virés au blond clair. Woah, ça en jette. S'il croyait dur comme fer à l'inceste, il se serait laissé tenté d'un compliment.
– dépêche toi, tu vas être en retard.
Il haussa les épaules et disparu dans l'encadrement de la porte beige dorée.
– et il s'appelle reviens ! Siffla-t-elle pendant que le garçon pouvait encore l'entendre, en parlant de son peigne adoré.

Luxeria Malfoy était le genre de fille à tout faire dans les règles, à avoir de la patience et rester ordonnée dans sa vie privée. La famille ne la motivait pas plus que ça, mais elle aimait avoir leur intense respect, ayant été élevée avec certaines valeurs de la pureté. Sang pur, par excellence. Ses préjugés s'étendaient, comme ceux de son frère ainé, et du couple de Mangemorts qui leur servait de parents à plein temps. Pendant des années le sujet de la Magie Noire était un tabou absolu, ils ne voulaient pas influencer le destin de leurs enfants, bien qu'ils étaient persuadés que leur choix se porterait vers le dark lord en personne. Ils le rejoindraient, comme eux. Un sur deux accèdera à leur rêve. Le garçon s'enfuira de la maison lorsque lui sera venu le temps d'avoir cette marque maudite, avec sa fiancée actuelle. Tandis que la cadette acceptera cette voie, à contre cœur, n'ayant pas envie de rejoindre un parti qui ne l'inspirait pas plus que ça. La notion du pouvoir de la haute magie était la seule chose qui la motivait assez pour ne pas fuir. Bien que la connaissant, dés la chute du Seigneur, elle serait une des premières à faire comme si de rien n'était & à prendre un poste très important pour ainsi commencer une nouvelle vie dans la joie & la bonne humeur. Car après tout, Mangemort, c'est un style et il y a la vie à coté. Il n'était pas question d'échouer, de supposer ou d'essayer dans cette famille. Ils étaient soumis à une pression insoutenable, qui les broyaient comme un épais étau de fer leur encerclant les entrailles. Pour le couple heureux, leurs enfants devaient toujours avoir de bonnes notes, avoir un comportement exemplaire et prouver qu'ils étaient des gens biens, à l'extérieur du moins. Échouer, leur était interdit, et si cela venait à arriver, les conséquences restaient terribles. Le garçon respectait clairement leur manière de voir les choses, il s'effaçait, préférant procéder ainsi que de se faire sermonner en longueur de journée. Ce n'était pas tout à fait l'avis de sa sœur, qui faisait tout pour exaspérer son entourage. Elle respectait les valeurs, les choses importantes pour ses parents, mais était quelqu'un de très expressive & d'indirecte. Si quelque chose ne lui plaisait pas, la demoiselle le montrait en s'en prenant à autrui. Et ainsi va le cycle de la vie d'un égo de pureté surdimensionné. Pour eux, ils avaient tout, l'argent, la renommée et le sang. Ils étaient au-dessus de toutes les lois car c'est comme ça qu'on leur enseigna la vie. A être des hypocrites sans scrupules et à faire tout en douce. Tant qu'ils faisaient bonne figure, ils pouvaient faire les pires vacheries du monde, personne ne trouverait quoi que ce soit à redire. Le jeu de l'apparence demeure la seule chose valable.

(...)
– bordel, casse-toi !
– mais calme-toi !
– dégage je te dis, pauvre con !
– lux, tu es ma sœur préférée, certes la seule, mais ma préférée quand même, et tu sais que je t'–
– tu me le sors, je te jure que t'as plus de tête dans la minute qui suit.
– tu pourrais au moins respecter mes sentiments !
– c'est vrai j'avais oublié, demander la main de la pire ennemie de ta sœur c'est normal, tout le monde fait ça de nos jours.
– tu vois, si tu avais cette mentalité là on ne se dispu–

Le beau brun pensait avoir tout gagné, mais il décrocha le jackpot du siècle, à croire sur son cerveau commençait sérieusement à déteindre sur sa ceinture. Deviendrait-il sensé ? Comme si un verre d'eau vidé de son contenu liquide et humide le ferait songer avoir tort sur toute la ligne. Il écarta ses mains mouillées et observa son tee-shirt du genre Prada sorcier totalement foutu. Il nota intérieurement de ne jamais poser un verre d'eau sur la table de la cuisine lorsqu'une certaine blonde était dans les parages.

– lux ! reviens ! Rétorqua-t-il en montant d'un ton grave. Il allait la tuer, c'était pas possible, une vraie pile électrique. Et ça se dit sa sœur cadette ?

La blonde survoltée était partie en claquant la porte froidement, des étoiles rouges et dangereuses scintillant au fond de ses pupilles bleutées; d'ordinaire si magnifiques, et désormais si terrifiantes. Ce n'était juste qu'une demande. Sauf que Jersey avait tout faux. Entre Lux et Amanda, c'était tout sauf de l'amour et ils vécurent heureux et n'eurent aucuns enfants. Depuis leur rencontre à onze ans, ils n'avaient pas arrêtés de se faire les pires coups du monde, et ça les amusaient. On peut dire que ça avait si bien commencé, pourtant, lorsqu'on y pense. Et par principe; Amanda avait juste mal pris le fait que Lux lui ai malencontreusement renversé du jus de citrouille sur sa nouvelle jupe top tendance sorcière, et par ce geste, elle voulait lui arracher les yeux dans la seconde qui suivit. Quelle rancunière. Une haine sans bornes s'étaient petit à petit crées entre les deux condisciples de Ravenclaw. Pour ne pas compliquer les choses, Amanda haïssait les verts & argents, qui le lui rendaient tristement bien. Et l'autre "garce" parlaient avec eux tous les jours, sortaient avec eux, et embêtaient les Gryffindor avec eux. Le dicton à beau dire qu'on ne tombe pas forcément dans la bonne maison, mais tout de même, pour A. c'était une déclaration de guerre. Et A. & L. ça dura sept ans. Et plus. La meilleure rupture de leur vie fut à la fin des épreuves de Poudlard, quand les deux princesses se séparèrent enfin en sachant qu'elles ne se reverraient plus jamais. Elles s'étaient alors serrées la main, en parfaites joueuses au jeu du qui-brûlera-les-cheveux-de-l'autre-avant-le-mois-de-décembre. Elles pensaient avoir la paix, pouvoir commencer leur vie en ayant des ASPICS pleins les poches et des étoiles pleins les yeux, jusqu'à ce que le conte de fée retombe lourdement au sol comme un soufflet complètement raté. Jersey, le frère aîné de Luxeria déclara vouloir se fiancer avec miss Amanda Rochester. D'abord L. avait cligné des yeux, avait lâché son chat qui heurta méchamment le sol en un miaulement plaintif avant de courir se cacher sous un sofa. Elle avait posé ses mains sur la table de la cuisine, un sourire amusé aux lèvres en lançant la phrase fatidique que tout le monde dirait dans une pareille situation, "C'est une blague?", d'habitude le frère répond quelque chose de positif, et affirme cette hypothèse, ils éclatent de rire et décident de se balader dans le Londres côté Moldu. Sauf que là, il acquiesça négativement, et entendit un cri strident qui lui hurla dessus, le jetant à la porte de leur appartement en plein West Side. Jersey s'était alors dit que sa sœur avait un sacré tempérament et qu'elle fallait arrêter de jeter tout le monde à la porte, c'était aussi chez lui. C'est ce qu'il prétexta devant la porte. Ce n'est qu'une heure plus tard que la concernée daigna la lui ouvrir. L'année promettait. On raconte que les coups de foudre sont rares, certains disent qu'ils n'existent pas et qu'il ne s'agit que de belles paroles pour les idéalistes romantiques rêveurs. Jersey était persuadé qu'ils existaient, et qu'il en était tombé fou amoureux. Bien qu'intérieurement il aurait préféré que Cupidon ai jeté son dévolu sur une autre fille qu'Amanda, cela lui aurait permit de ne pas trembler de froid dehors tout seul à attendre qu'une porte ne s'ouvre enfin.

Finalement, l'heureux couple trouva une date pour le mariage, et Luxeria fut même la demoiselle d'honneur. Par obligation, évidemment. Forcée de garder son calme et à afficher un sourire niais à chaque fois qu'on lui adresserait la parole. Si elle semblait s'entendre comme larron en foire avec la jeune promise, ce n'était pas le cas lorsque tous les regards étaient tournés. Dans les coulisses, la mariée & sa demoiselle ne cessaient de s'enguirlander sur des détails insignifiants et futiles. Et elles vécurent heureuses pour la fin des temps.