Faith A. Lyswood _WEREWOLF
▬ AGE : 38 ▬ NOMBRE DE MESSAGES : 55 ▬ LOCALISATION : Londres... étrange non ?
{ True.Blood ▬ RACE: LOUP-GAROU ▬ MY SIDE: Loup-Garou ▬ RELATIONSHIPS:
| Sujet: Karel - Ft. Chace Crawford [LIBRE] Mar 21 Juil - 16:07 | |
| © Cristalline
| Karel (Deuxième prénom & Nom de famille au choix) feat. Chace Crawford
• Free • 25 ans • Lycan solitaire • Métier au choix. • Hétérosexuel • Impulsif – Violent – Colérique – Séducteur (dragueur) – Sauvage (= têtu ; insoumis ; rebelle) – Cynique – Egoïste
Histoire du personnage Karel est le fils d’une sorcière et d’un lycan, il a donc manifesté petit des capacités qui auraient pu le mener à Poudlard, si seulement l’école n’avait pas brûlée, et les lycans n'y étant plus refusés. Ce fut sa mère qui l’éduqua sans le domaine de la magie, mais on ne peut pas dire qu’il y soit le meilleur, l’étude avec de véritables enseignants manque à son palmarès. Mais d’un autre côté, il n’y a jamais vraiment porté d’attention, ayant toujours été très proche des Lyswood, quittant rapidement le giron de sa mère pour passer de plus en plus de temps avec Faith et Selene. Pourtant ce fut en grandissant qu’il devint ce rebelle qui avait toujours sommeillé en lui, refusant de se conformer (à vous de voir de quelle manière) à ce que les alphas pouvaient attendre de lui, jusqu’au moment fatidique qui scella son destin : il fut chassé de la meute lorsqu’il eut 18 ans. Depuis, il n’a revu Faith que trois ou quatre fois, prétextant de la croiser dans la rue même si la vérité était tout autre puisqu’il avait provoqué ces rencontres, même si un nouveau but germait dans le creux de son âme : fonder une nouvelle meute. (en ce qui concerne le reste, vous êtes totalement libre. Ci-dessous : les extraits de ma fiche parlant ouvertement de Karel)
| - Spoiler:
Le chant d’une amitié ;
« Mais tu pourrais… - Je pourrais ? » demanda-t-elle en esquissant une petite moue équivoque, accentuant l’intensité de son regard sous sa supposition qu’elle imaginait complètement loufoque, et à plus forte raison que le sujet de conversation portait sur les grossesses avortées des lycanes. « Allez… ça va te prendre l’éternité ou quoi ? » s’exclama-t-elle finalement en levant les yeux au ciel, trahissant son impatience présente.
Elle était encore jeune du haut de ses neuf ans, mais son visage avait conservé cette innocence juvénile qu’ont les toutes petites filles à la sortie du berceau. Mais il semblait évident qu’elle ne perdrait jamais cette peau pâle et inviolée, presque intouchable si l’on remontait à ces époques innommables, sans parler de ses cheveux roux qui auraient fini de la mener directement au bûcher à l’époque de la chasse aux sorcières, et ce sans même savoir qu’il y avait effectivement une excellente raison pour qu’elle y aille. Car la demoiselle était née loup-garou, non pas ces horreurs que l’on imagine généralement, mais des êtres ayant la capacité de se transformer en loup tout simplement, avec ce maudit détail de la transformation forcée sous l’opale rond de la lune. Enfin, l’on pouvait dire que le sujet était véritablement bien choisie puisqu’ils avaient remis sur le tapis le fait que leurs mères ne soient qu’humaine, sorcière pour lui, mais cela n’avait rien changé à l’histoire, aucune femme de leur clan n’était en mesure d’enfanter, sinon cela se serait sût, et ils avaient abordés, lui, Karel, le meilleure ami de la jeune fille, et hypothétiquement celui qui voulait un jour en faire sa compagne… si elle cessait d’être aussi… non, en vérité il n’aurait voulu qu’elle change pour rien au monde.
« Tu pourrais rester un loup. - Pendant neuf mois !? » s’exclama-t-elle sans parvenir à croire qu’il émettait une telle hypothèse. « Tu veux que je porte un rejeton dans mon ventre sous l’apparence d’un loup pendant… c’est décidé, t’es fou… - Mais non… - … malade. Mais si ! Tu voudrais que je joue à saute mouton et que j’attende en hurlant à la lune de savoir si des petits louveteaux papillonneraient dans mon ventre… Mais beurk ! - C’est toi qui voulais des bébés à toi… » sifflota-t-il avec arrogance, en jouant au monsieur important subitement. « J’ai pas dit que j’en voulais… c’est toi qui te fais des films. Faudra que tu te trouves une autre pondeuse. » lui répondit-elle en lui tirant la langue.
Mais dès qu’elle eut fait son geste, elle laissa échapper un léger cri tandis que Karel l’attrapait et la soulevait du sol, avant que de ses lèvres ne se déversent plus que des éclats de rire, tandis qu’ils tombaient tous les deux, lui s’activant à la chatouiller… A vrai dire, si l’on ignorait ce qu’ils étaient, c’était difficile de penser qu’ils puissent être à un moment donné ou à un autre un danger pour quiconque, d’autant plus qu’ils n’avaient jamais agressé d’humain jusqu’à présent. Ils avaient juste l’air heureux tout simplement, comme deux gamins qui s’amusent et se taquinent…
« A l’abordage ! » cria alors une autre voix, celle d’une jolie petite fille blonde qui se jeta sur le pauvre Karel pour qui la situation se renversait alors, laissant les deux demoiselles gagner haut la main la partie et le chatouiller à son tour alors qu’il était pourtant plus âgé de deux ans de la plus grande.
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--- Flash-back ---
Ses prunelles glissaient alors sur une ligne du livre qu’elle étudiait pour son devoir de biologie lorsque tout à coup Karel s’était assis à ses côtés en laissant ses doigts venir s’emparer des siens, l’incitant à délaisser le bouquin qu’elle avait entre les mains, laissant ses prunelles choir sur les traits contrariés du lycan, longeant la courbe de ses lèvres pincées. Mais tout ceci ne lui plut pas, la laissant s’inquiéter sous l’air trop sérieux de son ami… tout cela sentait mauvais, et elle détestait cette sensation, c’était comme si on venait de lui retirer un autre moyen de contrôler son existence… comme cette première fois où elle avait croisé un chasseur alors qu’elle se trouvait sous sa forme animale, jouant de sa vitesse et de la connaissance des lieux pour échapper au destin capiteux qui lui pendait alors au nez avec une détermination grotesque. Et à cet instant c’était la même chose, elle savait avant même qu’il n’entrouvre les lèvres que cela n’allait pas, et qu’elle n’allait pas aimer ce qu’il aurait à lui dire.
« Ils me chassent… » glissa-t-il d’un timbre brûlant de colère mais chuchoté sous le biais de leur complicité. « … sous prétexte que je ne veux pas les écouter, que… arghhh ! » s’exclama-t-il finalement en se relevant, délaissant la jeune fille qui ne le quittait pas des yeux. Et voilà, elle l’aurait parié, elle n’aimait pas ce qu’elle entendait, lui et son caractère de chien qu’il ne voulait pas étouffer pour pouvoir se conformer à ce que son père, son oncle, ou un quelconque autre alpha puisse attendre et espérer de lui. Mais non, monsieur était bien trop orgueilleux, et puis surtout il ne voulait pas qu’on lui dérobe ce qu’il convoitait sous prétexte qu’il était plus bas dans la hiérarchie des loups. Brutalement, alors qu’il venait de faire les cents pas, il se retourna vers elle avec cette brusquerie impulsive qu’elle lui connaissait mais qui ne l’effrayait en aucune manière.
« Ça t’es égal ? Tu t’en fiches en fait ! - Ne dis pas ça… - Alors viens ! - Quoi ? » s’exclama-t-elle sous la supplique qui vibrait sous un ordre qu’elle n’appréciait pas. « Viens… part avec moi. Allons-nous en Faith… » mais tandis qu’il la suppliait une nouvelle fois, elle se contentait d’esquisser un sourire incrédule et de secouer son visage de gauche à droite sous la négation qui perlait au bord de ses lèvres rosies et frissonnantes, les doigts de son ami venant immobiliser ses traits en esquissant sa joue, en levant son visage pour croiser son regard alors qu’il s’inclinait vers elle. « Ne me dis pas non sans y avoir réfléchi… s’il te plaît. Tu sais que je me suis souvent demandé à quoi tu pensais sous cette jolie frimousse, toutes ces choses que tu ne me confies pas, que tu ne veux jamais me dire. »
Mais loin de rester ainsi soumise à son bon vouloir, elle se dégagea plutôt sèchement de cette étreinte inopportune qui semblait à présent la brûler. Oh s’il voulait qu’elle parte avec lui c’était pour l’emprisonner dans une relation où elle ne serait plus considérée que comme la compagne d’un fugitif, et c’était de tous ces stéréotypes qu’elle voulait s’extirper, ne plus être brimées d’une telle manière… car les femmes ne pouvaient commander par droit de puissance, bien sûr que non, il n’y avait que les mâles, ceux-là même qui encore à cet instant étendaient leurs ombres maladives sur son être.
Elle aurait pu lui dire : ‘Je n’ai que seize ans Karel, seize petites années. Tu connais mes projets, tu sais que je veux faire médecine et ce n’est certainement pas en fuite que je le pourrai.’ Mais non, elle n’en fit rien, se contentant d’incliner légèrement son visage sur le côté, et ce fut sans une explication, sans le moindre frémissement involontaire de son être, de ses traits, de son visage… comme si tout ceci n’était finalement qu’indifférence, qu'elle reprit la parole.
« Ma réponse est non. Tu ne penses qu’à toi quand tu me proposes ça, tu n’arrives même pas à imaginer pouvoir te soumettre… - C’est toi qui dis ça ? » s’exclama-t-il avec ironie en connaissant sa manie d’écouter la musique de Dyscorde, en sachant ses grandes idées, ses grandes pensées, ses envies de changements, d’avancées qui allaient pourtant à l’encontre de tout ce qu’il lui proposait. « Oui, moi. Tu t’en vas ? Très bien… adieu. » lâcha-t-elle comme si elle parlait de la pluie et du beau temps.
Déjà elle rassemblait ses affaires, signe évident que la conversation était terminée, qu’elle ne comptait pas se donner en spectacle devant tous les autres sous prétexte que monsieur n’était pas d’accord avec la décision qu’elle venait de prendre et qui était irrémédiablement enlisée dans ce ciment invisible qu’elle venait de verser à ses pieds. Pourtant la perte de son meilleur ami n’était pas quelque chose qui lui faisait plaisir, bien au contraire… mais la vie était ainsi capricieuse, comme le fameux jour où sa mère l’avait mise au monde, périssant dans la seconde qui avait fatalement suivi. Aussi ne l’avait jamais connue, et les déchirures entre cet autrefois et ce présent étaient bien différentes. Elle ne voulait pas qu’il parte, mais pas non plus le suivre jusqu’à Tambouktou, alors c’était fini, terminé, une histoire à classer dans les méandres de ses souvenirs, tandis qu’il lui saisissait le bras, sa voix venant glisser le long de sa nuque comme un miel à la lascivité tremblante.
« Faith… - Non Karel, tu as pris ta décision et moi la mienne, c’est fini. »
--- Fin du Flash Back ---
[ +++ & ?] Faith A. Lyswood (Rachel Hurd Wood) Eux ça remonte à loin, et elle est à ses yeux sa meilleure amie, tout comme il l’est aux siens. Néanmoins il ne sait pas vraiment ce qu’il ressent pour elle, du désir parce qu’elle s’est toujours esquivée telle une anguille, parce que malgré qu’il la connaisse, il y a une part d’elle qu’il n’avait pu saisir ; ou bien un petit quelque chose de plus. Néanmoins il aurait aimé en faire sa compagne… pour une nuit ou une éternité, il l’ignore encore. Mais elle pourrait servir sa vengeance si seulement il parvenait à la convaincre de tout quitter pour lui, mais c’est sans compter sur la ténacité de la jeune femme qui ne veut appartenir à aucun mâle. (Vous êtes libre bien sûr… dans un sens ou dans l’autre.)
[ +++] Selene E. Lyswood (Elisabeth Harnois) La cousine de sa meilleure amie, celle avec laquelle il a fait les 400 coups lorsqu’elle se trouvait avec eux. Et comme Faith en est très proche depuis toute petite, on vous laisse imaginer. Il l’aime donc beaucoup et tient énormément à elle, même s’il ne l’a pas revue depuis qu’il a quitté la meute.
[--] Erkan L. Lyswood (Alex Pettyfer) Ils furent plusieurs à décider de son exclusion de la meute, et Erkan était de ceux-là. D’autant plus que les rumeurs de l’attitude qu’il a envers ceux qui approche Faith lui sont parvenu et qu’il ne peut s’empêcher d’imaginer que c’était pour l’éloigner qu’il a voté en ce sens.
[--] Remus Lyswood Comment apprécier celui qui vous a littéralement jeté dehors ? La réponse de son animosité à son égard est là, tout simplement.
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